Ultima Alluvione
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 Ares Galla[Nemo]

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Ares Galla [Nemo]

Ares Galla [Nemo]

Membre- pactisant
 Membre- pactisant


MESSAGES : 345
AGE : 27
LOCALISATION : Dans le dos de Gérard41ans.
HOBBIES : Lecture, Rp, graphisme, dessin, cours ;_;.
HUMEUR : Hi Hi Hi.

Ares Galla[Nemo] Vide
MessageSujet: Ares Galla[Nemo]   Ares Galla[Nemo] I_icon_minitimeSam 30 Avr - 7:52

    La vostra identità



    NOM; Galla
    PRÉNOM; Ares
    SEXE; Masculin
    DATE DE NAISSANCE; 28 Février
    LIEU DE NAISSANCE; Lisonne
    SITUATION SOCIALE; Célibataire
    MÉTIER; Etudiant en marketing
    NATIONALITÉ;Italien



    La vostra persona
    INTÉRIEUR;
    Ares est quelqu’un d’assez stable dans son mental avant tout. Il ne culpabilisera pas jusqu’au suicide. Il est assez confiant en lui, un peu trop même. Il penche sérieusement vers le côté tête brulée. Il mesure ses réactions mais s’emporte facilement et ne possède pas la notion de prudence, ou du moins, s’en fou. Un peu provocateur, les trucs marginaux qui enfreignent les lois l’attirent. Le vent dans les cheveux, la musique à fond juste pour emmerder les voisins, le bonheur de flirter avec ses limites et les règles du monde. Le sentiment de contrôle instable, qui frise dans ses veines, par ondes de courant d’excitation. Le vide. C’est a l’occasion qu’il fume, pour l’exaltation de cette fumée dansante, le venin rebelle qui se mue dans ses poumons. L’aventure. L’air pimenté. Les filles. Il possède un côté charmeur, frivole. Un peu cœur d’artichaut, du genre a tomber amoureux de … n’importe qui. Son amour pour le risque est d’ailleurs un facteur prompt à attirer les filles. Et il en profite pleinement, ravi ~.
    Il hait le regard des autres qui l’a torturé, et le torture depuis sa tendre enfance, en proie a tout les murmures, les insultes, les sous-entendus méprisants, qui le dégoute profondément. Au point de parfois avoir des accès de paranoïa sur ce que peuvent éprouver les gens en posant les yeux sur lui. Les réflexions sur l’infidélité de sa mère et tout ce qui vas bien avec, le poursuivent depuis des années, a un certain point ou il a tendance à craquer rapidement et s’énerver dans les situations crées par le sujet, dont il ne se sent pas responsable, car il sait bien qu’il ne l’est pas. La fureur l’emporte sur sa raison, déjà présente en quantité faible dans son esprit … Sa réaction première est de rendre à leur regards un autre glacial et foudroyant et en les abreuvant de tout les noms possibles et imaginables.
    Il n’est pas quelqu’un de particulièrement inventif, les idées originales ne fusent pas a tout bout de champ dans son cerveau. Mais ce n’est pas pour autant que c’est un parfait crétin, sans la moindre once d’astuce et d’intelligence. Il reste futé et débrouillard. Ares à tendance à formuler les idées de Osiris, qui lui n’ose pas les dire, mais ne met pas a son profit. Il n’est pas égoïste, ni manipulateur. Les rares fois ou il calcule, c’est généralement pour faire une blague ou une connerie a sa sauce.
    C’est quelqu’un de fidèle, en qui on peut avoir confiance pour ne pas tout révéler à la première personne qu’il croisera dans la rue. Il est assez taquin, pour peu qu’on parte dans l’élan. C’est un bon vivant qui aime rire et s’amuser. « On ne vit qu’une fois. » est une phrase qui dicte la plupart de ses comportements parfois irresponsables. Il est à la fois brouillon et mal organisé. Il arrive souvent en retard. Ce n’est pas le sens de l’orientation acceptable du jeune homme qui en est la cause, mais bien le fait de rentrer dans des horaires, respecter une limite précise qui le perturbe, surtout quand il fait quelque chose qui l’intéresse. Il est assez ouvert d’esprit sur les autres cultures et les gens, mais malgré tout il est formaté par certain stéréotypes récurant, résultat de l’influence de la société de consommation. Ares essaye de ne pas juger sur des choses superficielles tel que l’apparence.

    Lui vis-à-vis de son frère : ils se comprennent sans même s’adresser la parole, leurs yeux se disent tout. Etant dans la même situation il ressent exactement la même chose. Ils sont liés, par-dessus toutes les remarques méprisantes, les épreuves qu’ils endurent, leur existence commune. Ares trouve son frère trop timide et aimerais qu’il s’impose plus, alors sans s’en rendre compte il prend parfois un peu trop les devants. Il admire ses idées, son intelligence et son ouverture d’esprit. Sans tomber dans la jalousie, il est trop en osmose avec lui, il l’aime trop pour penser ne serait-ce qu’une seconde à vouloir lui faire du mal.


    EXTÉRIEUR;
    Ares est un jeune homme, assez grand, doté d’une carrure d’un mètre et 80 centimètres. Il possède un côté filiforme, n’étant pas particulièrement musclé, ni gros, sans être une tapette pré pubère pour autant. Il est âgé de 19 ans. Il fait du 42 en pointure. Ses cheveux sont d’une teinte blonde plus ou moins foncé avec de reflet dorés. Partant vers le châtain clair en fonction de la luminosité de l’endroit. Ils sont fins et soyeux. D’une texture lisse, loin d’être des raides comme des baguettes mais délicatement courbé vers l’extérieur. Coupé dans un style mi-long/court. Il les agrémente régulièrement de barrettes et d’élastiques colorés, pour parvenir à une sorte de tresse sur le côté droit de sa tête. Ce qui malgré le gel léger, lui donne l’air décoiffé. Sa peau est couleur chair, pas très bronzé, ni blanc comme un cachet. Elle est plus ou moins sans défauts, quelques grains de beautés discrets et plus d’acné depuis 2 ans. Il a les pommettes hautes, le nez droit et fin. Une mâchoire douce. Ses yeux sont de couleur noisette ou pelage de moineau propre. Ares a un regard joyeux, dans lequel se reflète son caractère rieur et léger. Il possède un piercing à l’arcade de l’œil droit, une barre banane en acier chirurgical surmonté de deux accessoires identiques étant des boules en acrylique d’un diamètre de 3 millimètres, de couleur unie vert bouteille. Ses lèvres sont claires et fines. Son visage est de forme ovale, il ne possède pas de double menton. Son coup est long et marqué par la légère bosse que crée sa pomme d’Adam.
    Il se tien droit, sa démarche est nonchalante mais rythmée, qui dégage une aura de calme et de ruse. Par moments il affiche un sourire mystérieux, indescriptible. Totalement inconsciemment. Mais la plupart du temps il affiche une expression pleine de malice.
    Sa voix est claire et ses mots articulés, un baryton classique, avec une nuance ténor lorsqu’il est stressé ou en mauvaise phase. Les mots s’étranglent dans sa gorge et il bégaie parfois dans ces situations. La colère et la peine on plus tendance à le rendre limpide mais ombrageux, surtout quand il fume. Ce n’est pas un pompier, il déguste une clope en quelques occasions, avec des amis, jouissant de sa solitude ou lorsqu’il est énervé.
    Il est propre et s’occupe plus ou moins de lui. Se lave tout les jours ou presque, utilisant un savon à l’amande douce et un shampooing aux extraits d’agrumes. Il ne met pas d’eau de toilette pesante et lourde qui étouffent la moindre personne qu’il salue. Ares se lave les dents avec un dentifrice enrichit en fluor et un arome menthe pour cacher son halène de fumeur qui a tendance à déclencher des réactions négatives chez les filles qu’il drague.
    Il met régulièrement divers chevalières à ses doigts en argent vieilli. Des mitaines courtes effilées. Des bracelets constitués de bandes de tissus colorés enchevêtrées avec quelques babioles. Son style est assez indéfinissable, penchant vers le rock. Il porte régulièrement des jean a trous et des pantalons large avec des bandes de tissus pendouillant aléatoirement sur les côté. Il aime les t-shirts à manches courtes, mais pas les débardeurs. Il ne se défait jamais de ses Doc Martens [pardon… je n’ai pas pu résister xD] noires, usée jusqu'à la moelle. Il met aussi des sweets amples et une veste courte a manches longues noire. Le jeune homme ne supporte pas les lunettes, elles l’agace au plus haut point et il n’en met jamais, quitte a ses tuer les yeux. Tout comme les bonnets qui le gratte et l’insupporte. En revanche, il porte des longues écharpes à carreaux, rayures, fleurs ou unies. La plupart du temps il est vêtu de l’uniforme de son école de marketing. Veste vert bouteille avec écuissons brodé sur le cœur, chemise blanche et cravate noire. Accompagnés d’un pantalon à la coupe classique noire et de chaussure en cuir qu’il s’évertue à mettre sous les menaces de son frère.




    la vostra vita
    HISTOIRE;

    7 ANS

    « Adele, viens c’est l’heure de partir. Le week-end c’est fini, tu as école demain »

    La petite fille se précipite vers sa mère. Ses cheveux bruns, voluptueux s’échappent de leur position parfaite pour retomber dans un enchevêtrement de mèches bouclées à chaque pas qui la mène vers sa mère. Son visage est déçu, toute la malice et l’énergie habituelle de celui-ci est partie. Ses yeux sont tristes et un éclat aquatique scintille à l’extrémité de leur forme en amande. Elle regarde en arrière. Elle détourne la tête une nouvelle fois en direction de sa génitrice, prise entre deux étaux. Le premier d’écouter sa maman, être de gentillesse et de bonté envers elle, autorité maternelle. Le deuxième de fuir vers les personnes qui l’attendent là-bas et de poursuivre leur aventure épique. Leurs combats de chevalier, la fuite du dragon-oncle, la découverte du trésor gourmant, les parties de pêches a l’étant finissant en bataille de boue sans parler des missions d’espionnage dans les arbres et de tous ces rires, ces joies. Sentir la fierté et le l’orgueil nous envahir quand notre cachette est la meilleure et que tous passent a côté sans la découvrir, jouer de son silence et retenir son souffle lorsque l’un d’entre eux est sur le point de la trouver et afficher un sourire éclatant et triomphant , manquant de quelques dents quand elle entend la voix des aveugles déclarer forfait. Sortir soudainement de sa cache, les cheveux pleins de toiles d’araignées et les faire sursauter. Eclater de rire et s’enfuir trouver un nouvel endroit insoupçonnable.

    Le dilemme qui s’offrait a elle, avait plusieurs significations. Il fallait rentrer, reprendre le travail et grandir, ne plus penser à jouer et se pencher sur ses additions. Commencer a grandir dans sa tête. Entamant le chemin vers le monde des adultes qui paraissait si brillant, si grand. Obéir. Accepter une fois de plus le désir et l’ordre parental pour ne pas en subir les conséquences. Céder à cette obligation et comprendre qu’elle avait assez joué pendant deux semaines. Faire ce que l’on lui demandait parce que ce n’était pas n’importe qui, qui le lui demandait, c’était Papa et Maman tout de même. Ou s’évader une fois de plus, prendre la main du garçon qu’elle trouvait beau et courageux, monter sur son fier destrier à la peinture écaillée, aux roues grinçantes et à la selle creuse pleine de paille. Courir derrière un buisson pour surprendre le troisième les cherchant d’une voix larmoyante et remplie de colère inoffensive. Retourner gripper et sauter de branches en branches pour savourer le paysage, sa nouvelle taille et la fierté de l’avoir accomplit. Sentir le murmure du vent et la réponse des feuilles.

    Une expression caractéristique alluma le regard de la femme d’une trentaine d’année. Et la petite, qui n’avait certainement pas envie de ranger sa chambre et de devoir ranger les couverts propres en plus de ses tâches habituelles n’interrompit pas sa course.

    Une fois dans les bras de sa mère, elle eu un petit déclic. Elle avait oublié de dire au revoir a ses compagnons de jeux. La crème glacée qu’elle avait prévu de se faire offrir sur le chemin du retour dans la première station service de l’autoroute ou ils pourraient s’arrêter sous prétexte d’une envie pressente risquait d’y passer, mais elle ne voulait pas partir sans saluer ses nouveaux amis.

    « Maman, maman ! J’ai oublié de dire au revoir à Ares et Osiris je peux y aller ? Je reviens tout de suite ne t’inquiète pas. Allez, sil-te-plais, sil-te-plais ! »

    Sans attendre la réponse de sa mère qui semblait avoir avalé quelque chose de travers sans qu’elle le remarque elle essaya de dégager sa main de celle de sa génitrice sans y arriver. L’emprise de celle-ci, s’étant soudain resserrée, l’écrasant presque par moment. Une lueur de colère fleurit dans le champ verdoyant d’autorité et de mélange d’affection des yeux de la femme. Et le visage de la petite se peignit d’incompréhension. Elle insista pour lâcher sa mère mais ne réussi pas a s’échapper. Le contact de leur peau emprunt d’une chaleur inconnue de la part de sa maman. Elle ne comprenait pas pourquoi. D’ordinaire sa maman aurait accepté, elle l’aurait même réprimandé gentiment pour ne pas avoir dit au revoir et l’aurait pressée de revenir sans perdre du temps. Une voix curieuse sortit de la bouche de sa mère. Remplie de mépris et de honte sans qu’elle reconnaisse ces sentiments si peu familiers.

    « Quoi ?! Alors c’est avec eux que tu passais tout ce temps ma chérie ! Je ne veux plus te voir avec ces enfants, ce sont de mauvaises fréquentations pour toi, viens, on y va ! »

    Des larmes perlèrent a ses yeux en voyant sa maman s’énerver alors qu’elle n’avait rien fait et en pensant qu’elle ne pouvait même pas saluer une dernière fois son preux chevalier et son frère le grand roi. Elle jeta un dernier regard sur ses cousins qui l’épiait de loin derrière quelques adultes venu dire adieu à cette branche de la famille venu pour les vacances de pâques. Sa mère se releva et la traina derrière elle, ne lâchant pas sa main. Forçant un peu pour la faire avancer et ruminant des pensées sombres, de déshonneurs et de honte sur la famille. La fillette n’avait d’autres choix que de la suivre et pressait le pas, à la fois d’terrifiée et ne comprenant pas cette réaction. Regrettant de tout son cœur de ne pas avoir pu dire au revoir à ses amis. Elle grippa à l’intérieur de la voiture, laissant sa mère l’installer avec des mouvements brusques et énervés. Elle restait stupéfaite par ce comportement et demeurait paralysée de peur de mettre ne colère encore plus qu’elle ne l’était sa génitrice. La porte se referma et la vitre ne lui offrit plus qu’un aperçu trouble et lointain de ceux qu’elle quittait pour longtemps sans aucuns doutes. Avant d’a son tour rentré dans la carcasse de fer animé, sans que la petite le voie, la mère lança un regard mauvais aux deux jeunes garçons que se tenait non loin de là. Les rumeurs courraient et elle y croyait dur comme fer, elle avait facilement accepté que sa sœur, qui était toujours la plus belle, toujours la meilleure à l’école, toujours la plus mature ait eu des relations peu respectables. Et les enfants avec qui sa petite Adele avait trainé pendant tout ce temps n’étaient que le résultat de ces honteuses vérités. Ils ne pouvaient être que le reflet de tout cela, depuis leur tendre enfance élevés dans le mensonge et la fourberie qui avait dirigée leur conception. Le mépris et la haine ne se firent que plus intense dans le regard qu’elle posa sur eux, ils étaient nés dans le pécher, l’adultère et ne pouvait être que des fruits pourris.

    Elle pénétra dans la Twingo laissant les deux enfants désemparés. Le regard dans le vide, plongés dans une bulle de questions et noyés dans leur incompréhension.

    Adele passa tout son temps a regarder le nature défiler depuis la glace de la portière. Les formes s’enchainer et les couleurs se manger entre elles. Les arbres se peindre sur un fond teinté d’un bleu violacé par la fin de la journée, les ombres noires des oiseaux migrateurs s’élancer dans le ciel, un lac infini, aux contrées remplies de nuages sculptés et aux limites infinies. Elle rêvait d’être un oiseau, de s’envoler et de découvrir toutes ces nouvelles contrés, ces pays imaginaires, peuplés de fées, de sirènes nageant dans des eaux cristallines, de pirates voguant sur les mers, les cheveux dans le vent, l’écume froissée par la brise la voile tendue par la puissance d’Ouranos. Elle rêvait de retrouver ses cousins, de repartir à l’aventure. Elle rêvait de sortir de la voiture, d’oublier sa maitresse, de ne plus avoir que pour seul but celui de suivre son instinct et ses envies au grès du vent. La pause glace qu’elle avait anticipé ne lui donnait même plus envie. Elle avait trop peur de réveiller la chose qui dormait dans la mère en faisant un caprice. Le contraste noir des immeubles et des lumière chaudes des fenêtres prirent peu a peu leur place dans le paysage. Elle posa son regard avec mélancolie sur les ombres chinoises si familières qui se dressaient devant elle. La petite retint ses larmes, raisonnant comme une grande. Une fois dans son lit, après avoir mangé un repas basique, purée de carotte et steak haché accompagné d’une salade de tomates et achevé sur un yaourt à la fraise, digne d’une vie citadine de tout les jours, elle tenta de répondre a ses interrogations, l’ayant tourmenté son esprit tout l’après midi. Sa maman, de nouveau souriante et un peu fatiguée des quatre heures de voyage se baissa vers elle pour déposer un baiser sur son front. Avant qu’elle ait eu le temps de lui souhaiter de beaux rêves, Adele prit la parole ;

    « Maman, pourquoi tu as dit, avant de partir, que je ne devais pas m’amuser avec Ares et Osiris ? »



    MOINS 9 MOIS

    « Julia… désires-tu un enfant ? »


    Il était deux. Deux frères jumeaux aussi beau l’un que l’autre. L’un n’était que le reflet de l’autre. La vitre qui les séparait était pourtant bien plus épaisse qu’un verre de miroir. Ils possédaient des cheveux blonds et fins. Tombant dans une courbe souple sur leurs épaules marmoréennes. Fluides et vifs, se tendant dans un arc abstrait au moindre souffle d’air pour s’envoler impétueux lors des tempêtes. Des yeux rappelant le lac au clair de lune qui l’avait hanté et qu’elle avait fréquenté des soirs aux cieux remplit d’étoiles, de lucioles diffusant une lumière feutrée. Un bateau fantomatique à la voile sombre, tachant d’encre son centre. Les pommettes hautes. Le nez droit et maigre. Les lèvres minces et droites, à la couleur crème, plus foncé que celle de leur peau. Celle-ci était couleur crème assez légère, saupoudrée de taches de rousseur en abondance sur le visage, au niveau du nez, parsemé de grains de beautés à la teinte chocolat noir, notamment un, juste sous l’œil droit, apportant une touche de délicatesse et de raffinement au tableau. De taille moyenne, un mètre 76 plus précisément. Musclés raisonnablement par la voile pratiquée durant leur adolescence, sans pour autant avoir des physiques d’athlètes. S’orientant plus vers le physicien doublé du musicien psychédélique que le catcheur.

    Le masque tombe et le miroir fragile ce brise au pas de plus. Celui qu’elle avait épousé il y a 5 ans de cela était doté d’un caractère sur de lui. Rieur et enjoué. Tout en étant stable et raisonnable. Médecin posé et attentif. Protecteur. Doux et aimant. C’est pour ces qualités qu’elle était tombée amoureuse de lui. Son équilibre net et confiant était un stabilisateur pour elle. Sa présence était apaisante et leur relation emprunte de maturité. Passant des heures a converser sur des sujets divers, philosophant avec intérêt. Son avis spontané et franc contrastant avec le sien, réfléchit, appréciant les divers aspects psychologiques de la chose. Il y avait quelque chose dans sa façon saine et logique de réfléchir qui l’attirait. Une stabilité rassurante, qui lui inspirait confiance. Ils s’équilibraient avec plénitude. Tandis qu’il tenait sa main pour continuer a tracer les lignes droites de leur vie, elle donnait la courbe et apportait la soudaineté de l’écart. Il était gentleman et charmeur. Son sourire joyeux s’éveillait a de rares occasions, mais les seules dont il avait mesuré qu’il en était la peine. Et c’est ce sourire, ces yeux blagueurs qui l’enchantait, mélangés a son réalisme et son recul humain envers les choses, qui avait aboutit à cette existence neutre du couple parfait mais pas trop, mesuré et peu expansif. Ses bras l’entourant, son parfum de savon frais. La passion lente et diffuse qui s’allumait en eux. L’envie, l’élan d’amour qu’elle avait pour lui c’était pourtant lassé. Elle était trop accrochée a ses ailes de folie et avait fini par succomber à sa nature humaine, la poussant à, sans repos, trouver de nouveaux buts, de nouvelles passions. Et lentement, comme son désir, s’était retiré comme une vague douce sur le rivage de son cœur. Pour seul bruit le bruissement du sable.

    Il y avait l’autre. Plus jeune elle l’avait trouvé trop étrange. Elle était dans son monde de couleurs et de fantaisie. Son frère était différent. Trop différent pour elle à l’époque. Il lui inspirait la singularité d’esprit. Et elle n’était pas attirée par ce mystère, déjà perdue dans le labyrinthe de pan de son royaume mental. Ses réflexions avaient muries. Le fruit exotique qu’elle était n’aspirait plus au paisible soleil. Puis, un jour, durant l’un de ces annuels rassemblement de famille elle s’était retrouvée par hasard a discuter avec lui. Les sombres arcanes de l’ombre avaient quelques choses de plus éclatant. Elle avait passé une partie de sa vie en le fréquentant, car présent aux côtés de son frères, mais ne s’était jamais éprise de lui. Que ce fusse d’affection, d’amitié ou d’amour. Le revoyant grandit, aussi séduisant que son frère elle avait entamé la conversation rien que pour savoir ce qu’il était devenu depuis tout ce temps. Et ses mots l’avait inspiré. La poésie et la subtilité simple et sans prétention qui s’en dégageait naturellement sans qu’il s’en rende même compte, l’avait touché. Il était un électron libre. Une personne surmontée d’un nuage noir et mystérieux. Les yeux remplit d’étoiles fugitives, avides de nouvelles idées à la fois empruntes de marginalité et d’intrigue.

    Il semblait être au courant de son mariage avec son frère. Elle se souvenait ne pas l’y avoir vu, car traversant une période sombre de sa vie d’après son homme. Pourtant il accepta de la revoir pour discuter autour d’un café et d’une religieuse au chocolat. Le mystère et l’esprit artistique, bien plus libre et ailé que celui de son frère avait eu raison de la faiblesse sentimentale de Julia. Elle tombait inlassablement sous l’hypnose des courbes de ses paroles. Et son monde joyeux refleurissait. C’était le printemps, les oiseaux gazouillaient, les couleurs s’enlaçaient. L’homme ombrageux qu’il était créait l’étincelle de magie mystique de ses forêts perdues. Ses lèvres se mouvaient, les mots coulaient, lyriques. Fins et intelligent. Il était son pinceau. L’autre ne faisait que lui tenir la main, lui donnait son âme dans son art. Peignait des taches d’encres lunaires dans ses nuits chaudes remplies de papillons aux ailes irisés. Reflet de leurs deux personnalités, au départ séparé par une frontière invisible et incomprise par les deux protagonistes puis franchie. Leur chemin les menant, sans se soucier de cette limite, créant le paradoxe aux mœurs qu’illustrait leur relation.

    Ce qui était pratique, avec le fait de tromper son mari avec le frère jumeau de celui-ci, c’est que dans la rue, les lieux publiques, a moins d’être de famille ou de connaître personnellement les deux frères, pas grand monde ne pouvait jaser sur son infidélité. Et ça faisait un an qu’ils vivaient en amants fougueux et inspirés. Parfois elle se sentait coupable. Mais elle avait le droit et le devoir d’aspirer au bonheur. Et c’était ça, son bonheur. Il la guidait vers un endroit qu’elle connaissait bien. Les pavés du quartier historique de Milan résonnaient sous le bruit de ses bottes. Il l’entrainait derrière elle sans lui laisser le temps de s’expliquer. Et elle courrait, courrait. Se laissant emporter par une vague de joie. A présent il était chez lui. Un joli petit appartement, les murs recouverts d’une peinture bleu nuit parsemé de taches blanches. Un abat-jour blanc en forme de boule accroché au plafond. Des plantes vertes envahissaient l’endroit. Une odeur de bois sombre et exotique régnait, un vent frais s’engouffrait par la baie vitrée ouverte. Lentement il s’agenouilla devant elle. Julia fronça les sourcils, partagés entre le rire de sa course folle et l’inquiétude que lui procurait le sourire mystérieux qui c’était peint sur les lèvres tendres de son amant. Elle le considérait comme extrêmement rare et précieux, mais la touche de malice qui s’y lisait la faisait stresser. Cette moue lui était réservé à des moments joyeux, pendant lesquels il lui envoyait une vanne moqueuse et affective qui se finissait bien souvent dans ses bras. Mais la position qui l’adoptait face à elle n’augurait rien de… rassurant. Gardant son sourire de plus en plus sournois et ravi, il prit sa main dans les siennes. Elle plongea dans ses yeux azurés. Au cas où il ne le savait pas elle était déjà mariée, et elle craignait fortement que être fiancée une deuxième fois risquait d’être impossible au regard de la loi et encore plus au niveau de son concubinage « légal ». Puis des mots aussi inattendus que mélodieux prirent leur envol de sa bouche.

    Julia ne prit même pas le temps de répondre. Elle posa délicatement ses lèvres sur les siennes et entoura son coup de ses bras, passant ses mains dans ses cheveux dorés. Récemment son mari lui avait fait la même offre qu’elle avait accepté, malgré tout elle l’aimait encore, pas autant que son frère jumeau, mais quand même. Sa réponse était absolue dans les deux cas. Oui.

    Faisant son petit bout de chemin dans un nouveau monde rose et zébré de rouge, le spermatozoïde de mâle 2 vint se heurter inopinément a l’ovule de femelle 1. Remplit de fougue par son désir de faire perdurer son code génétique et son espèce en second plan, il se fixa la tache de faire de celle grosse boule ronde sienne. D’opérer un processus d’osmose entre les deux cellules. Il réussit. En prenant tout son temps, Ovule 2 fécondé, voyagea. Il vint se poser juste à côté d’Ovule 1 fécondé lui aussi. Ils n’entamèrent pas de relation, ou même de discussion, mais il était évident qu’ils se ressemblaient. Déjà, le duo d’êtres unicellulaires entamait leur multiplication effrénée, la multiplication du désir de vivre. Deux. Inévitablement.


    16 ANS

    Il sentit une présence froide et glaciale dans son dos. Des murmures remplis de mépris. Ares fixa obstinément son casier et ses affaires de cours en mauvais état amoncelées dans un pile instable. Un frisson parcouru ses mains crispé par la haine. Il haïssait tout ces mots. Il révulsait leurs profanateurs. D’un coup sec, il pivota sur ses pieds, faisant crisser ses chaussures sur le carrelage sale. Ils étaient cinq. De toutes nationalités, sans marques distinctives autre que leur hypocrisie et leur dégout envers lui. Un éclair traversa ses yeux, les foudroyant. Il cracha une insulte a leur égard. Sans tenter plus, malgré sa profonde envie de … leur rentrer dedans. Ils étaient trop nombreux. Et lui pour peu qu’il soit assez audacieux, il n’avait pas envie de gâcher ses études pour des choses dont il n’était pas responsable. Sa responsabilité, il la mettait souvent en question. Tous les jours depuis que la rumeur avait traversé les murs, rampant dans les couloirs, tel un serpent, bondissant, plein de vices. Tous les jours son pourquoi ? le martelait et le torturait sans répit. Il n’était pas en faute. Il ne pouvait pas changer le passer, ni cesser d’exister pour accorder ce plaisir aux autres. Ses actes, a lui, ne pouvaient avoir aucunes conséquences sur ceux qu’avaient pu faire ses parents avant même que sa mère tombe enceinte d’Ares et de son frère. Que pouvait-il répondre d’autre ? Qu’avait-il, dans l’absolu, la possibilité de dire de différent pour se défendre ? Il n’y était pour rien, il avait beau de retourner l’esprit, il n’arrivait pas à se sentir coupable pour des choses qui avaient eu lieu avant même son premier cris. Sous les gloussements plein d’accusations des êtres humains qui se dressait là il entama son chemin vers le laboratoire de pratique des méthodes scientifiques, rongeant son os Hollywood chewing-gum.

    « T’a mère c’était vraiment une pute dit-moi, t’as hérité de ses gènes ?»

    Il s’en foutait. Il se foutait des surveillants qui ne tarderait pas a se jeter sur lui. Il se foutait de se prendre une raclée. Tout le temps, il subissait leurs regards, leurs insinuations, leurs insultes prononcées à demi-mot. Il explosa.

    Un visage trouble se pencha vers lui. Il se reconnut dans les traits qui se peignaient sous ses yeux comme les siens. Osiris. Il se souvenait bien de ce qui s’était passé quelques heures plus tôt. Ares s’était jeté sur la personne qui l’avait insulté. Derrière lui en plus. Il leur avait donné satisfaction en s’emportant, mais il ne regrettait pas. Les seuls remords qui le troublaient c’est de ne pas avoir pu se déchainer plus que ça. De toute façon si son frère ne l’avais pas arrêté, aidé d’amis, il se serait pris une raclée. Un contre un, il aurait eu ses chances, mais contre trois mecs, qui plus est, accompagnés de filles devant qui frimer, il pouvait bien aller s’énerver dans son coin. Et il avait fini assommé par l’idiot, faute de pouvoir se défendre, bloqué par les gars, qui en avait profité pour lui envoyer son poing dans la tempe gauche. Une douleur grinçante le lui rappela. Son frère le regarda. Lui, le comprenait. Ses cheveux châtain aux reflets blonds, ses yeux couleur noisette, ses pommettes hautes, sa mâchoire adoucie, son regard. Taché de malheur et d’un désespoir qu’il ressentait comme le sien, parce que, après tout, c’était le sien. Il était le yang. Lui le ying. Ils se complétaient par leurs déférences et leurs ressemblances. Leurs vies, le traitement qui leur était réservé. Les mots. Les chuchotements. Les yeux. Des siens, une larme perla. Il tourna la tête. Les émotions d’Osiris, il les ressentait. La rage. Les questions. Le sentiment d’épuisement. Il était a bout. Sa main endolorie se posa sur l’épaule de son frère, faux jumeaux ou pas, l’intensité de leur lien brisait celui du sang.

    Et parfois. Parfois. N’être qu’une seule entité vivante avait son attrait.

    Un attrait, qui s’étendait, comme une galaxie. Une galaxie remplie d’étoiles.


    un mostro ?
    RANG; A.
    POUVOIR; "C'est cette zone, qu'ils délimitent entre eux. Leurs corps sont la limite. Entre eux, cette union est capable de tout, surtout d'inverser le mouvement de toute chose. Annuler une blessure, inverser un mouvement, retourner un vecteur... avec une distance maximum de 50 mètres. Bouger les un peu et tout est fini. La compensation: ils doivent frapper le visage de l'autre, en une parfaite synchronisation."
    Dites moi si je dois réécrire le pouvoir aussi, parce que pour garder les termes exactes j'ai préféré ne pas y toucher, (sans parler du fait qu'il est commun à deux personnes).
    CAMP; July.


    la vostra stella !

    TYPE; Umana.
    NOM; Nemo.
    RELATION; Ares est prudent et réservé envers Nemo. Celui-ci s’incruste sans le vouloir dans le duo qu’il forme avec son frère. Osiris avec qui il a tout enduré, tout vécu. Malheur. Questions. Pleurs. Désespoir. Espoir. Vœu. Ils se ressemblent pourtant. Mais Ares garde de la prudence envers le Stella, c’est un homme tombé du ciel quand même. Il ne connait pas le but de sa présence, ni les pensées profondes de Nemo et cela le fait douter. Il est apparu, suite au vœu des deux frères, comme une fleur et le pactisant doute de sa sincérité. Avec le temps il s'habitue à sa présence, gardant tout de même une certaine limite. Ils sont assez joueurs entre eux. Et parfois, Ares commençant a lui accorder sa confiance, ils rient, et abordes des sujets plus profonds.
    EN FAIRE UN PRÉDÉFINI ? C’est déjà un prédéfini >8<.


    voi

    Prénom ou pseudo habituel; Eslyne.
    Avatar; « Random boy » [ ô.ô]
    Avez-vous lu le règlement ?Non. Code vitodé par Vali.
    Comment avez-vous connu le forum ? ça date tout ça. Gros mix ; pub + partenariat + ect …
    Un mot à dire ? Il tue *^*.

    Hum,
    quelqu'un peux rajouter un "[Nemo]" à la fin de mon pseudo, s'il vous plait ? July l'avait déjà changé mais a oublié ce détail.

    J'ai déjà posté dans mon sujet d’absence pour prévenir: je pars en Allemagne pour 2 semaines dans 2 jours, retrouver ma correspondante /o/. Par conséquence je ne serais pas là, sans parler du fait que mon PC est chez le réparateur.

    Prédéfini fait par Leo (a).



Dernière édition par Ares Galla [Nemo] le Dim 1 Mai - 6:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Ares Galla[Nemo]   Ares Galla[Nemo] I_icon_minitimeSam 30 Avr - 11:00

Bon, je donne mon avis quand même, vu que t'es ma propriété 8D

Le caractère colle parfaitement avec Ares, c'est bien, ça se voit surtout dans l'histoire. Tu as bien expliqué la liaison de Julia avec son amant, en plus d'un manière que je n'avais pas envisagé, c'est très agréable à lire.

Sinon, un conseil, fait attention à l'accent au dessus du "a". Je ne sais pas si tu écris avec un clavier anglais, mais pense à les ajouter o/ (Mais bon, je suis pas la pour faire la morale sur l'orthographe, sinon je m'appellerai Luisa : mad :)

Donc, pour moi, t'as mon feu vert *_*

Et tu dois me trouver un Osiris maintenant, obligay.
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Ares Galla [Nemo]

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MessageSujet: Re: Ares Galla[Nemo]   Ares Galla[Nemo] I_icon_minitimeSam 30 Avr - 13:31

    Je suis ta propriété, no problem 8D :mur:

    Tant mieux si ça te plais, j'ai essayé de mon mieux pour m'approprier le personnage sans sortir n'importe quoi :D.

    J'ai jamais appris la règle des "à", c'est un vrai tabou chez moi :rire:.

    Owi il me FAUT un Osiris *^* ( je dis ça de la même façon que " Il me FAUT cette peluche." ).
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MessageSujet: Re: Ares Galla[Nemo]   Ares Galla[Nemo] I_icon_minitimeSam 30 Avr - 15:58

[Nemo] ajouté.

Donc, bienvenue sur UA ; je suis contente de pouvoir enfin lire cette fiche, le prédef faisait tellement envie xD Et omg, j'ai adoré ta façon de développer l'histoire des jumeaux. C'est excellent! Le rythme est fluide, les descriptions sont aussi justes que bien trouvées - un grand bravo pour ça. Un peu comme Leo, je ne m'attendais pas du tout à cette façon de présenter les choses. Et c'est encore mieux comme ça.

D'ailleurs, je vois que tu as son aval, et il en va de même pour moi : validée! : heart : : heart : En plus, né le 28 Février, je l'aime le coco.

(Le seul petit bémol, ce sont les fautes d'orthographe ... et elles ne concernent pas que les histoires d'accents sur les "a/à" qu'a pointés Leo. Tu en fais de façon assez récurrente, notamment en ce qui concerne les accords sujet/verbe-déterminant/nom commun. Et c'est dommage, parce que la forme nuit un peu à la qualité du fond que tu as produit ... La fiche était longue, il est donc logique que des fautes d'inattention surviennent. Attention pendant le rp, en revanche ; relis-toi attentivement, tu sais très bien éviter les fautes ;))

PS : Ah, oui, il faut aussi que tu choisisses un camp, c'est important. Celui de July, ou bien April? Lis leurs fiches si tu manques d'éléments pour te décider.
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MessageSujet: Re: Ares Galla[Nemo]   Ares Galla[Nemo] I_icon_minitimeDim 1 Mai - 6:22

    J'avais envie de faire quelque chose de léger, je suis ravie que ça plaise, j'ai toujours tendance à partir dans les trucs lourds.
    Hum vous vous attendiez à quoi pour son histoire ? *curieuse*

    Bon, j'ai compris, sur UA vas falloir que je soit rigoureuse ;_;. La grammaire et l'orthographe ça me pompe toujours autant >->. Je connais toutes ces règles, mais dans l'élan ... ça me saoule plus qu'autre chose. Bref, oui maîtresse je vais être plus attentive 8D.

    L'EVENT avec les camps n'était pas annulée ? ( avec un nouvel évènement en rapport avec le GDP ? ). Bon, July alors.

    Merci de m'avoir rajouté le "[Nemo]" et de m'avoir validé ^_^, je vais m'occuper de tout les petits trucs sous la mini-fiche avant de partir ~
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MessageSujet: Re: Ares Galla[Nemo]   Ares Galla[Nemo] I_icon_minitimeLun 2 Mai - 9:44

Disons que je m'attendais à un point de vue plus objectif, plus détaché, vis-à-vis de l'histoire ; j'ai beaucoup aimé le rythme et la façon de présenter les choses ou, justement, de ne pas les présenter. Donc c'était vraiment très bien, et courage en ce qui concerne l'orthographe. Ne lâche pas l'affaire en cours de route, c'est en se forçant à l'appliquer qu'elle rentre : heart :

Quant à l'évènement, oui, il est annulé. Mais reste qu'il faut toujours choisir un camp, me semble-t-il xD Dans tous les cas, ce sera fait, comme ça. Et de rien!
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MessageSujet: Re: Ares Galla[Nemo]   Ares Galla[Nemo] I_icon_minitime

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