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 Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute.

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Anonymous

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Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. Vide
MessageSujet: Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute.   Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. I_icon_minitimeMer 3 Nov - 17:50

I'm just a sweet transvestite.
NOM; Virus.
SURNOM; … Virus-chou ?
SEXE; J't'en pose des questions ?
APPARTENANCE; Tss. Eros C. Donnatella.
MÉTIER;Si glander toute la journée à bouffer des chips devant la télévision c'est un métier, oui, pourquoi pas.


Damn it, Janet, I love you.
I wanna be dirty;

« - Tu t'appelles Virus ? Mais c'pas un prénom.
- Parce que tu crois que Maria c'est mieux ? »
Il tire sur sa clope rejetant ses cheveux en arrière regardant la gamine comme si elle était une extraterrestre étrange et immonde, ignoble. Il la regarde de loin et de haut comme effrayé à l'idée qu'elle puisse le toucher. Ses longues jambes sont collées contre son torse et il grimace à l'enfant odieuse.
« - Je croyais que t'étais sensé me garder et être gentil avec moi aujourd'hui », elle grogne, d'un air capricieux.
« - Et moi je pensais que tu serais majeure sexuellement Chérie.
- ça veut dire quoi ça ?
- Qui sait. »
Ses joues deviennent un peu plus rouges.
« - Tu me réponds ! »
Lui rit.
« - Wah, elle s'énerve. ». A ses mots, il déplie ses jambes et pose ses pieds au sol. La moquette de l'appartement dans lequel ils sont lui caresse sa peau blanchâtre. Il sourit, amusé de trouver un pseudo adversaire. Il reprend. « - Que vas-tu faire si je refuse ?
- Je vais... Je vais... Je vais retenir ma respiration jusqu'à crever !
- Ah oui ? »

Il lui jette un regard plein de défi et décide d'abandonner. Qu'elle se crève si elle veut, cela sera toujours drôle à regarder. L'homme, ou plutôt l'être, se lève. Il n'est pas habitué à faire ça, plus à passer ses journées devant la télé sur le canapé. Cette dernière semble d'ailleurs la seule chose qui prend grâce à ses yeux. Ses longs cheveux d'un blond effacé viennent caresser ses omoplates saillantes. Tous ses os semblent pointer à travers sa peau pour vouloir la transpercer. Il paraît maigre au point de se briser. Il répondrait avec un sourire imperturbable qu'il est parfait.

Virus ment avec aplomb et culot. Impossible de savoir ce qu'il se passe dans sa tête tordue. Il le sait, il en joue. Les sentiments sont quelque chose qui lui paraissent étrangers, bizarres, anormaux. Ce n'est pas qu'il n'en ressent pas, c'est que ce ne sont jamais les bons, jamais ceux auxquels il s'attend. Les êtres humains sont pour lui une énigme étrange qu'il n'arrive à déchiffrer. Leurs sentiments, leurs larmes, leurs pleurs, leurs rires, leurs frissons, toutes ces choses qu'il observe à longueur de journée sans arriver à les prévoir, c'est un peu comme si tout était toujours surprenant, toujours incroyable. Ce que c'est agaçant.

Virus s'est lassé. Orgueilleux, prétentieux, le Stella a fini par décider d'abandonner. S'il fut quelque temps un être curieux et presque agréable, il a vite tourné à l'aigreur, l'ironie et la rancœur non dissimulée. Il est agacé de tout ça, tous ces sentiments qui lui sont toujours balancés à la gueule. Même les êtres « comme lui » ressentent et vivent, stupide hasard, lui n'arrive pas, il en est persuadé. Il se sent blasé et soulé de tout ça. Il veut être libre pour aller s'enfermer dans une grotte tranquille et vivre à l'écart, loin des agitations superficielles et des sentiments dégoulinants. Virus aime la solitude et le silence, il aime le calme, les sourires murmurés, les soupirs étouffés. Il s'est dégoûté des êtres humains et a vite appris à maitriser à la perfection l'ironie, les doubles sens, les méchancetés tournées en gentillesse trompeuses.

Parler au blond, c'est un peu comme parler à un miroir, il ne fait que renvoyer les questions et les peurs à la face de l'interlocuteur. S'il est insulté, il retournera l'insulte, impossible de l'accuser de quoi que ce soit, il réussira toujours à retourner à la situation, à vous accuser des maux que vous lui accordez haut et fort. Il joue des sentiments sans les comprendre avec une facilité déconcertante. Ce n'est pas qu'il les comprend, ce n'est même pas qu'il les prévoit, il a juste inventé un système de défense et de fuite des plus efficaces. Son sourire perpétuellement collé sur son visage d'ange, il charme et dévisage enchainant mensonge et ironie cinglante sans ressentir aucune culpabilité.
A mesure que le temps passe Virus apprend à apprécier la souffrance qu'il lit sur le visage imparfait de ces humains détestables. S'il pouvait leur trouver un intérêt, il s'est vite lassé, aigri de leurs sentiments qu'il ne comprend pas. Sûrement qu'il les hait de ressentir, il veut leur mort, et son sourire s'élargit, et son hypocrisie mielleuse les perd dans des labyrinthes de prétentions et d'apparences, et il joue avec eux, il joue de ces sentiments qu'il déteste, et il croit, stupide, qu'il est au dessus, et il les méprise pour mieux s'en persuader, et il hait sans hésiter, il veut en finir, il veut être libre, arrêter de prétendre, arrêter de sourire.

Son hypocrisie le fatigue, son Pactisant le fatigue, ce monde le fatigue, et il prétend de mieux en mieux, il ment avec facilité, par automatisme, il change de nom en fonction de l'interlocuteur, il invente ce que l'on souhaite, pour mieux nous emprisonner, pour mieux nous façonner. Méprisant, désagréable, cynique, morbide, il semble avoir tous les défauts du monde, on le sait, on le sait bien, qu'il ne fait que mentir, que cet amour qu'il prône quand il pénètre nos reins, ce n'est qu'une douce comptine, qu'une délicieuse chanson murmurée, qui s'évapore, qui disparaît, qui disparaît, et il disparaît avec elle, il ne laisse qu'un souvenir à l'odeur de chrysanthème, qu'un souvenir aigre et triste. Il joue, il s'en fiche, il a abandonné, il a essayé, il a essayé de comprendre, il a abandonné, il n'a pas la patience, il préfère voir la souffrance, il préfère s'amuser de leurs faiblesses, et il prône n'en avoir aucune, et il prône sa perfection, parce qu'il ne fait pas de régime de faveur, parce que son indifférence est légendaire, sa discussion épuisante, son attitude insupportable, dont il est tellement fier.

Lunatique, il est impossible à suivre, ses humeurs s'enchainent et se superposent, il imite ce qu'il voit, il passe du rire aux larmes, ça n'a pas d'importance, il ne les ressent pas. Son corps est entre ses mains celui d'une marionnette, il contrôle parfaitement ses expressions, ses glandes et ses désirs, il feint le hasard, il ment le vertige, ne perdant jamais de vue ses buts, des petites missions qu'il se donne, ou celles que lui donne Eros, Virus ressemble à un chien obéissant, usant de cynisme, de mauvaise volonté et de mauvaise foi, mais arrivant toujours à obtenir ce qu'il souhaite, ce que l'autre souhaite de lui. Il grogne mais n'aboie pas. Il ne va pas au bout, il tourne en rond, il hésite, tergiverse, il dit qu'il va dégager, il dit qu'il va le tuer, il dit qu'il va s'enfuir, mais il reste, il reste toujours au pied de son maitre, l'intérêt de ne rien ressentir, c'est l'indifférence, et il ne sait pas, il ne sait jamais, s'il est sérieux, s'il joue son rôle, s'il se laisse dépasser. Sous le contrôle il y a la folie, il ne sait pas, il fait semblant, de toute façon, il fait toujours semblant, il n'y a rien de vrai, il n'y a que des illusions, et il se perd, il se perd dans les déviances de son être, il ne sait pas s'il est réellement ce qu'il voit, ou s'il joue ce qu'il est, il ne sait pas s'il déteste réellement son Pactisant, ou s'il ne fait que répondre à ses sentiments de la seule manière qu'il connait, il ne sait pas si quand il le baise, il a envie de lui, ou s'il ne fait qu'obéir, parce que c'est plus simple, parce que c'est sa fuite. Et il ne supporte pas, ce sourire qui ne le quitte pas ne veut rien dire, il murmure l'amour comme il réciterait ses courses.

Il ne sait pas où est la réalité et où est le mensonge. Il ne sait pas s'il est réel avec Eros ou juste s'il ment mieux, il se sait inutile, parasite incompréhensible, qui marmonne un sourire aux lèvres des idioties sans nom passant ses journées affalé à regarder la tv. Parfois il se sent emprisonné, mais il se dit que c'est sûrement le cas pour tout le monde.

« - Alors, t'es morte ? », il demande, sa silhouette longiligne dans l'encadrure de la porte, la fumée de sa clope l'entourant. Les larmes coulent sur les joues de l'enfant, elle crie.
« - Tu m'as laissé toute seule !
- Mais non.
- … Mais si !!
- Tu crois ?
- Oui !
- Ah.
- … Je le dirais à Maman.
- Moi aussi, je n'y manquerais pas ! », il feint l'indignation. « Quel manque de responsabilité. On n'aurait jamais dû engager quelqu'un si peu adulte pour baby-sitter. »
Il marque une pause et la regarde, elle et ses grands yeux hallucinés.
« - Fais pas cette gueule, il rit, et puis après quelques secondes de réflexions, Tu veux une clope ? »

Creature of the night;

L'enfant l'observe alors qu'il lui tend une cigarette. Ses grands yeux s'attardent sur ses doigts à l'aspect rachitique et dont les courbures sèches lui rappellent une sorte d'araignée étrange, disgracieuse et disproportionnée. Le bras qu'il tend vers elle est recouvert d'une longue mitaine violette qui grimpe jusqu'à son avant bras – c'est moche, et ça fait fille. Son débardeur noir est trop moulant, c'est à peine si on voit ses côtes à travers. Elle ne sait pas si elle le trouve beau, le corps des adultes ne veut rien dire pour elle, le corps tout court d'ailleurs, elle n'y a jamais vraiment fait attention. Elle, elle aime juste le chocolat chaud le matin et les garçons aux cheveux blonds.
Avec celui-là au moins, elle peut être satisfaite. L'homme a de longs cheveux dorés qui trainent dans son dos. Ils sont très longs, presque aussi longs que ceux de la gamine, mais ils sont plus lisses, plus beaux. Elle est jalouse mais elle ne le dira pas. Et puis c'est bizarre son bandage autour du cou là. Il est blessé ? Elle grogne.

« - J'ai pas le droit », et Virus – c'est pas un prénom – sourit en rangeant le paquet dans la poche de son jean. Elle observe un peu ses doigts qui se tortillent contre le tissus rêche, ignorant ces longues jambes qui s'actionnent. Il a d'ailleurs de très longues jambes, trop longues, on dirait une fille. Il s'approche d'elle et son visage la colle. Elle a devant elle un gros nez horrible transformé par la perspective traitresse et elle est fascinée par ces narines qu'elle observe remuer. Y'a quelques poils qui se battent en duel sur la raie au dessus de la bouche là, elle trouve ça dégoutant et elle gémit son dégoût en déposant ses petits mains pâteuse sur la face du jeune homme afin de l'éloigner un peu, il se laisse faire et se rassoit près de l'enfant, semblant prêt à collaborer.
Illusion.

« - Mais si. Ta Maman a dit que c'était d'accord. »
Elle observe ses lèvres qui bougent avec un sourire imperturbable. Son visage est presque joli de profil mais elle n'aime pas. Il a le menton trop pointu, les oreilles trop grandes, les yeux trop étirés, et puis les lunettes, ça fait intello. Et elle n'aime pas non plus la fumée qui s'écoule de ses narines. Ça doit brûler, non ?
« - On t'a jamais dire qu'il fallait pas mentir ? »

Il tourne sa tête vers elle en souriant. Elle déteste ce petit sourire mais elle ne sait pas pourquoi. Elle lui adresse une grimace, il répond en tirant une langue bien rouge et sanguine, qui contraste avec le blanc de sa peau. Il a la peau très blanche d'ailleurs, elle n'est pas du tout beige, et Maria trouve ça trop irréel pour que ça soit beau – on dirait Blanche Neige tiens !
« - Tu me prends vraiment pour une fille stupide hein », elle dit d'un ton méprisant.

Il lui adresse le plus beau des sourires.
« - Je ne vais pas te mentir Chérie. »



Brad, I'm mad, for you too.
He thought you were the candy man;


« - Mais tu ne me sers à rien ! »

L'enfant gueule sa voix trop aigue résonne dans l'appartement déserté. Affalé sur le canapé de cuir blanc Virus, torse à l'air, se goinfre de chips regardant une émission de télé réalité. Eros, dans l'encadrure de la porte, l'air essoufflé, les cheveux en bataille, le fusille du regard.
C'est à peine s'il lui jette un regard, s'il n'a cillé quand il a fait son entrée. Il fourre une poignée de chips dans sa bouche se demandant à quel point il doit être frustrant de préparer une telle entrée pour la voir tomber à l'eau. Il faut dire qu'il est habitué. Cela ne fait que quelques mois que Virus s'est matérialisé et il est déjà anesthésié au monde qui l'entoure.
Quelle tristesse.

« - Je suis occupé.. làààà », que dit le Stella, et il émet un long bâillement qui prolonge le mot d'une façon ridicule. En disant cela, il étire un peu ses jambes et se cale un peu mieux dans le canapé. Être de glace insensible.
Le volcan ne va pas tarder à exploser. Dans quelques secondes, Eros va pleurer.

Depuis qu'il s'est matérialisé Virus n'a pas fait grand chose. Il se demande franchement comment il a pu « naitre » comme ça. Il n'aime pas réellement le terme naitre mais il n'en voit pas d'autre. Même si Eros a beaucoup de vocabulaire, c'est comme si Virus avait choisi de l'ignorer, jouant de l'agacement qu'il provoque chez lui lorsqu'il fait des fautes d'italiens.

Virus ne sert à rien. Son existence est une blague, une erreur. Le vœu d'Eros est tellement stupide que la présence de Virus est ridicule. Tout cela n'a aucun sens. Il reste là des heures durant à regarder une télévision immense espérant peut-être comprendre les réactions humaines à travers les reflets de l'écran. Virus aimerait vraiment aider Eros pour en finir, pour être libre.
Quel vœu stupide.

« - Comment ça t'es occupé ? JE T'AI INVOQUE POUR QUE TU ME RENDES NORMAL ET TU RENDS TOUT PIRE.
- Hum ? Ah, ça. », il avale une poignée de chips, « j'en suis désolé.
- TU PASSES TON TEMPS DEVANT CE PUTAIN DE POSTE DE TELEVISION. T'ES PIRE QUE MES PARENTS EN TERMES d'affection. »

Ses parents. Des êtres que Virus n'a toujours pas su adopter. Eux par contre, ce fut radical et direct. Un jeune adonis d'une vingtaine d'année qui squatte chez eux sans explication et couche explicitement avec leur rejeton d'une quinzaine d'année ? Aucun problème, ils lui offrent gite et couvert.
Virus a mis quelques temps à comprendre qu'Eros et sa famille n'avaient rien d'ordinaire. Au départ, il trouvait ça normal, trois pères, une mère, un gosse malheureux et obsédé. Ce ne fut qu'au bout de quelques semaines d'émissions éducatives sur la chaine Éducation, de quelques lectures instructives de sites internet et autres navets que le Stella se rendit compte de l'ampleur des dégâts.
Eros ne pourra jamais être normal pour la bonne et simple raison qu'il évolue dans un univers qui ne le sera jamais.

Et ce n'est pas en se coltinant un Stella comme Virus qu'il pourra le devenir. Ce n'est pas en se coltinant un Stella tout court, d'ailleurs. Qu'y a t-il de plus normal qu'une poussière d'étoile dont vous ne pouvez vous séparer ? Peut-être un éléphant rose ou une tortue volante. Quoi que peut-être que cette dernière existe déjà. Qui sait.

Eros est malheureux mais ne l'avoue pas. Sa tristesse est quelque chose de sous-jacent dont il n'a pas conscience, et Virus l'observe, jouant de ses névroses, se demandant quand il va réellement craquer, quand les larmes ne seront plus qu'un doux souvenir, qu'il ne deviendra qu'une coquille vide. Il se demande s'il se rendra compte un jour que son vœu est irréalisable et qu'ils sont bloqués ensemble pour l'éternité.
Il se demande et il le regarde gémir, il le regarde gémir son désespoir qu'il ne peut s'empêcher de mépriser, son sourire collé à ses lèvres fines. La nature fait bien les choses, il aime le voir souffrir. Mais ce petit numéro finirait presque par devenir agaçant.

Vient alors le jeu de manipulation. Eros s'est révélé ne pas détester la douleur. Tant mieux ? Ils fuient l'un l'autre, jouant des sentiments, prétendant l'indifférence et fermant les yeux sur le triste sort. Il n'y a qu'Eros qui craque et qui pleure, Virus lui, il parasite et il rit, il rit de ce qu'il voit ne pouvant s'empêcher de s'amuser de l'ironie d'une situation dont il est la première victime rêvant d'une liberté qu'il sait inatteignable.

Que faire alors. Il n'y a rien qu'il ne puisse faire, il ne peut qu'attendre, attendre que tout se brise, attendre le jour où Eros mourra. Peut-être qu'il le tuera lui-même. Il ne sait pas.
Et s'il l'aimait ? Il n'y aurait rien à faire alors.


una stella !
TYPE; Specchio.
POUVOIR; Contrôle de l'obscurité.
CONTREPARTIE; Rester dans l'ombre le temps de l'utilisation.
VOEU; Être normal.
DATE DU PACTE; Mars 2010.


il vostro patteggiati !
Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. 11vobrb
PRÉNOM & NOM; Eros Carmine Donatella
AGE & Date de naissance; 3 septembre 2011 – 15 ans.
METIER; Lycéen.
RELATION; Ahem. Relation est un bien grand mot pour définir ce qui unit Eros et Virus. Le problème dans toute cette relation serait sûrement le déni, le déni de tout attachement, de tout lien réel, de toute relation – justement. Eros veut être normal et Virus veut qu'il crève – son moyen, selon lui, d'être libre. Virus reste avec Eros comme il l'est toujours, froid et impassible, les seuls émotions que l'on peut lire sur son visage sont celles du mensonge et de la trahison. Il se sert de la naïveté de son Pactisant avec brio, de ses sentiments sans vergogne, mais qu'en est-il des siens ? Virus ignore et ment, il se ment à lui-même sur ce qu'il est, sur cette complicité, sur ce plaisir qu'il prend à le faire souffrir, sur ce manque. C'est plus simple ainsi, sans définir. Rester dans le flou, dans le mensonge éhonté. Les sentiments ne lui vont pas, ce n'est qu'un parasite. Il ne veut rien savoir. Il ne veut rien savoir du fait qu'avec Eros, ce qu'il montre, c'est peut-être ce qu'il est. Il est persuadé qu'il le manipule comme tous les autres. De toute façon, il ne pourrait faire autrement, n'est-ce pas ? Il ne peut pas l'aimer, il ne sait pas ressentir. C'est plus simple comme ça.
Et quand il rit, c'est aussi un mensonge.
EN FAIRE UN PRÉDÉFINI ? Non.
PORTRAIT; Un gamin autoritaire et insupportable, voilà comment résumer Eros en quelques mots. Encore et toujours de la mauvaise foi. Si ce sont bien les premiers traits que l'on peut percevoir chez le jeune homme, ce ne sont pas les plus importants. Eros est triste et seul, paumé dans une famille trop grande qui le rejette sans le vouloir. Naïf et déterminé il croit dur comme fer à son vœu stupide et ridicule. Virus ne comprend pas Eros mais il ne comprend pas grand chose. Il voudrait bien, pourtant, parfois. Il aimerait comprendre pourquoi il ne le tue pas, qu'est-ce qui le rend attachant. Il aimerait savoir pourquoi Eros aime souffrir et pleurer. Il aimerait savoir pourquoi il veut être normal. Tout ça lui échappe.
Eros lui, ne semble pas se soucier des pourquoi. Ce monde est le sien et il le connait, il le maitrise. Il gueule ses sentiments exacerbés comme s'il ne pouvait les contrôler. Il gueule toujours, d'ailleurs, il semble aimer ça. Il gueule quand il est content. Il gueule quand il est triste. Finalement peut-être que c'est ça l'adolescence ; être incapable de résister à ses phéromones. Virus a vu une émission là dessus à la tv. Des garçons de l'âge d'Eros (mais en un peu plus grand, physiquement, parce qu'Eros est minuscule) qui insultent et traitent leur parents comme leur chien. Eros est mieux que ça, ce n'est pas ses parents qu'il traite comme des chiens – c'est son stella.
Quelle chance.




Baby there's no victim there's no killer there's just you and me and no one to forgive;

Prénom ou pseudo habituel; Toxz.
Avatar; Sobi, Loveless.
Avez-vous lu le règlement ? Code bon by Liam (Vous me faites dire des choses que je ne pense pas viles créatures).
Comment avez-vous connu le forum ? Une membre qui a disparu j'crois.
Un mot à dire ? (non, l'histoire n'est pas ridiculement courte et cette fiche n'est pas bâclée.)
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Maddox. [Tinkerbell]

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Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. Vide
MessageSujet: Re: Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute.   Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. I_icon_minitimeJeu 4 Nov - 15:24

Non l'histoire n'est pas trop courte et non cette fiche n'est pas baclée ! =D

Bienvenue sur UA !
: heart :
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MessageSujet: Re: Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute.   Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. I_icon_minitimeJeu 4 Nov - 15:38

(ça dépend à quoi on compare T_T)

Merciiii : cheer :
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Alitia Toscane

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MessageSujet: Re: Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute.   Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. I_icon_minitimeJeu 4 Nov - 16:50

J'aime beaucoup le style de la fiche! J'ai hâte de voir vos rps à tous les deux *Mais nooon, pas pour ce que l'on croiiit! : mad : *

En tout cas, welcome! : heart :
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Sôma [Psuchè Hadzis]

Sôma [Psuchè Hadzis]

Sôma
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MESSAGES : 118

Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. Vide
MessageSujet: Re: Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute.   Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. I_icon_minitimeVen 5 Nov - 10:38

Bienvenue. ♥
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MessageSujet: Re: Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute.   Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. I_icon_minitimeVen 5 Nov - 15:14

Merci. ♥

(Tout en sobriété.)
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July Zucchero [Jude]

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MessageSujet: Re: Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute.   Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. I_icon_minitimeDim 7 Nov - 1:16

Comment je kiffe Virus ! : heart :
J'aime ton style d'écriture : C'est fluide, doux et ça coule naturellement.

Bienvenue !
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Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. Vide
MessageSujet: Re: Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute.   Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. I_icon_minitimeSam 18 Déc - 12:36

Oh ! Bienvenue ! J'aime beaucoup ton personnage, physiquement et mentalement. : love :
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MessageSujet: Re: Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute.   Virus { Aw, you actually think I care ? That's cute. I_icon_minitime

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