Sujet: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Lun 16 Aoû - 15:00
En quelques lignes.
Nicéphore Taylor Jones, surnommé par tout le monde et même les inconnus Tagada, est un jeune homme tout à fait malsain, âgé d’à peine vingt ans. Il est né le 24 Novembre 2006, à New York, aux USA et a toujours gardé la nationalité américaine. Célibataire se considérant comme un amoureux transi de l’humanité, il travaille comme hôte à domicile, pour les gens qui sont trop fatigués/timides/ennuyés pour aller chercher un(e) prostitué(e) dans la rue.
Festivités chez le psy.
Pourquoi être seulement pesant alors qu'avec un petit effort vous pourriez être insupportable ? Oscar Wilde.
« - Dites-moi, Mr Jones, vous trouvez-vous beau ? - Non. - … Comment ça ? - Je me trouve belle. » Et PAN.
Tagada est américain et ça se voit.
D’abord, la touffe de paille collée sur son crâne. Les trucs jaunes mal coiffés qui vous disent : « Allez, allez ! Viens y fourrer tes doigts ! » avec un air piquant. Osez le faire, Tagada ronronnera de plaisir et vous serez aussi prisonnier qu’une mouche dans une botte de foin ou une épingle dans une toile d’araignée, si vous préférez. Mais il aime bien s’occuper de ses mèches, croyez-moi. Et que je vous pince par-ci et que je vous tripote par-là, il ne cache absolument pas son engouement pour sa blondeur brillante. A chaque seconde de sa vie, il est prêt à se jeter littéralement sur quelqu’un, à lui planter ses cheveux dans les yeux, le nez, la bouche, le cou pour partager l’odeur de son shampoing et la douceur de ses mèches. Et si vous n’aimez pas, gare à vous ! Les grands yeux de notre blondinet vous guettent. Deux iris d’un bleu… normal. Bleu océan, bleu ciel, bleu lac, bleu peinture, bleu maison… tout ce que vous voulez. En tout cas, ils sont bleus. Et dans le Pack « Blond aux yeux bleus », Tagada ne semble pas avoir reçu le bonus « Neurones ». Mais c’est pas grave, hein ! Il le vit très bien. Par contre, vous, ce n’est pas certain.
Face ovale, nez moqueur, sourcils fins et flexibles. Rien de mieux pour un quelqu’un qui a voué sa vie au bonheur de lui-même. Son visage est capable d’arborer mille et une facettes, expressions, grimaces, airs, rictus. Un véritable masque très malléable et absolument insupportable quand on passe plus d’une demi-journée avec cette pille électrique. Pille électrique qui, en plus de ne penser qu’à s’amuser et à profiter des autres, n’a aucune honte quand il s’agit de vous tirer la langue, de vous offrir un sourire vicieux ou de vous cracher dessus. Pauvre bouche, me direz-vous. Quant aux lèvres, ça dépend de son accoutrement. Parfois rouges pommes, souvent intouchées. Ce qui nous amène au plus important.
Tagada est ce qu’on appelle, entre autres, un travesti. Ce n’est pas sa voie, loin de là et il le fait plus pour gagner du fric et se moquer de la gueule des gens que pour autre chose. Il prend une voix aigue abominable et vous sort des niaiseries horripilantes, tout en vous étouffant avec ses faux seins d’un air vicieux, en menaçant de coller l’une de ses jambes entre vos cuisses. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien qu’il est hôte à domicile. Ou quand la débauche vient à vous…
Parfaitement souple, assumant fièrement ses mœurs à faire pâlir d’horreur un citoyen normal, Tagada ne baisse jamais les yeux ou le dos, ne marche jamais timidement, ne rase jamais les murs, ne s’habille jamais discrètement, ne se faufile jamais dans les foules, n’essaie jamais de ne pas attirer l’attention et jamais, ô grand jamais, il ne sort de quelque part sans y avoir laissé un souvenir indélébile pour quelqu’un.
...
« - Mr Jones, avez-vous déjà eu à supporter des remarques désobligeantes ou des hostilités dans votre entourage ? - Ha ha ha ! Bien sûr que non ! - Tout le monde vous accepte… tel que vous êtes ? - Ils sont bien obligés, darling. Un peu comme vous, d’ailleurs. »
Comment définir Tagada ? Tout d’abord, sachez qu’il ne vous veut aucun mal. Il n’a pas vraiment une vision du mal et du bien. Il fait ce qu’il veut et si ça fait chialer quelqu’un… bah, qu’il chiale. Il prendra la peine de lui rire au nez, dans le meilleur des cas !
Tagada trouve intéressante toute forme de vie ou tout simplement tout existence à laquelle il a affaire. Intéressante dans le sens où elle peut lui rapporter même quelques secondes de pure joie, quand il trouvera le moyen de l’humilier publiquement et dans d’atroces sanglots. Oui, il aime bien regarder le malheur de certains. Faut dire qu’il y en a qui savent tellement être délicieux quand il s’agit de les décortiquer pour en faire de la pâtée pour Tagada. Il prend plaisir à mettre à nu les autres, à être un véritable cafard dans la vie de certains.
Ne vous étonnez jamais qu’un jour, vous le rencontriez et que le lendemain, vous le retrouviez devant la porte de votre appart’, assis sur un sac et prêt à camper pendant quelques jours dans votre nid douillet. Et bien sûr, vous avez rarement le choix. Tagada sait parfaitement quels fils tirer pour avoir l’approbation des autres. Chantages, miaulements, plaintes, pleurs, compromis et autres solutions de bas étage amusent grandement le blondinet qui en use et en abuse à tout bout de champ. A peine aperçoit-il votre point faible qu’il en profite immédiatement ! Vous adorez secrètement les petites culottes à fraises et les uniformes d’infirmières que voilà notre Tagada prêt à vous écraser comme un gamin le ferait avec une fourmi. Sans aucun scrupule.
Et sans aucune fierté. C’est un mot qui ne fait aucunement partie de son langage. Pas de fierté physique, surtout. Il en donne aucune importance à son corps quand il s’agit de l’utiliser pour égayer ses soirées et encore moins à celui des autres. Vos sentiments ? Votre avis ? Votre orgueil ? Tagada s’en abreuve et s’en amuse chaque joue plus encore.
Vous l’aimez ? C’est génial et Tagada en profitera. Vous le détestez ? C’est adorable et Tagada en profitera. Vous vous en foutez ? C’est cute et Tagada… en profitera.
Vous avez bien compris la leçon ? On va continuer un peu plus encore.
Encore plus qu’un jeune homme sans mœurs qui n’a aucun but dans la vie si n’est s’amuser jusqu’à ce qu’on le retrouve mort sur le lit de son ancienne prof de maths, Tagada a encore des principes. Encore plus qu’une fidélité enfantine à ceux qu’il admire ou qu’il considère comme ses amis, Tagada est toujours là quand vous avez besoin d’aide. Oh, sur le moment vous ne savez pas que vous allez le payer cher plus tard, mais dès qu’il s’agit de défendre quelqu’un, il s’en va froidement noyer dans la boue le méchant en question. Même si c’est le copain qui est en tort. Tagada n’a pas de logique, si ce n’est la sienne.
Quand on a vraiment plus envie de le rencontrer.
RANG; C POUVOIR; Son Stella ne réside pas dans une arme mais dans ses lunettes. Ce cher Tagada arrive à voir ce à quoi ressemblait ce qu’il regarde quelques minutes, heures, jours ou même semaines plus tôt. Imaginons qu’il regarde un passant marchant calmement mais qui, la semaine dernière, était à l’enterrement de sa fille. Il verrait, l’espace de quelques secondes, son visage défait. Mais entre nous, Tagada préfère avoir droit aux scènes de cul~ Par contre, la vision ne peut pas remonter à plus d'un mois en arrière et ne dure pas plus de quinze secondes. Au début, le pouvoir était aléatoire, ce qui fait qu’il ne contrôlait pas du tout ses visions. Le pauvre a dû souffrir au lycée… Mais ça s’est arrangé au fil du temps~ CAMP; Laquelle offre le plus de bonbons ?
Vicissitudes de la non-existence et de l'oubli
TYPE; Stella Luce NOM; Aucun. Il ne lui a pas donné de nom. RELATION; Eh bien… Il n’y aucune relation. On peut même dire qu’il lui arrive d’oublier totalement qu’il a passé un pacte. Son pouvoir fait tellement partie de son quotidien qu’il ne se pose aucune question et s’en sert un peu comme s’il s’agissait de quelque chose de normal. Son stella ? Il n'y pense jamais. Il ne se souvient même pas des détails de son pacte !
...Pourquoi ne pas s'en passer ? ♥
Prénom ou pseudo habituel; Tagada, ça ira <3 (Mais je n'aime pas les tagadas !) Avatar; America d’Axis Powers : Hetalia. Avez-vous lu le règlement ? Code validé par Vito. Comment avez-vous connu le forum ? Parce que je suis un génie, je connais tout 8D Un mot à dire ? J'ai quelques doutes sur le pouvoir, j'espère que ça va !
Dernière édition par Nicéphore T. Jones le Lun 16 Aoû - 17:20, édité 2 fois
Nicéphore T. Jones
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Lun 16 Aoû - 15:00
Ce que vous auriez aimé ne jamais savoir ♥
Aujourd'hui la plupart des gens se consument dans je ne sais quelle sagesse terre à terre et découvrent, quand il n'en est plus temps, que les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais. Oscar Wilde.
STEP ONE 5 ans ; New York. « Nicéphore, Jan, vous êtes prêts ? Mr et Mme Jones vous attendent devant la porte ! »
Nicéphore, à trois ans, était on ne peut plus heureux. Après avoir passé trois ans dans un orphelinat plutôt misérable, il avait enfin réussi à séduire un couple d’américains qui lui avait semblé présentable. Mr Jones était quelqu’un de très riche et Mrs Jones quelqu’un de très américain, il était donc facile de s’accaparer leurs « Ohhhh » émerveillés et leurs sourires béats devant sa petit bouille d’ange. Il avait des cheveux blonds, des yeux bleus, une peau de porcelaine, que demandait le peuple ? De plus, ces origines étaient très respectables ! Sa mère était juste une imbécile de seize ans lorsqu’elle avait accouché. D’ailleurs, elle lui avait souvent rendu visite jusqu’à l’année dernière, ce qui lui avait retiré un poids des épaules. Dans un endroit où chaque gosse est censé avoir perdu ses parents ou été abandonné, il n’était pas question qu’une exception subsiste. L’un des leurs ne pouvait en aucun cas avoir une femme nommée « Mum » lui rendant visite chaque mois et lui envoyant des cadeaux pour son anniversaire et Noel ! Ainsi, lorsqu’elle cessa de venir – il entendit l’un des membres du personnel parler d’études et de réputation – elle ne lui manquait pas plus que ça. Il attendait impatiemment le jour où quelqu’un l’adopterait. Il aurait alors une vie heureuse, serait chouchouté (parce que les gens qui adoptent ne peuvent souvent pas avoir d’enfants.) et aurait enfin des vêtements à lui, une chambre à lui, des parents à lui… Ou presque. Car le couple n’avait pas décidé de l’adopter seul mais avec une espèce de bulgare aux yeux noirs méchants qui le fusillait du regard toutes les trente secondes. Et il était censé devenir le frère de cet abruti ?! Non merci ! Qu’il aille crever, plutôt. Ca l’arrangerait bien, lui.
STEP TWO 6 ans ; Quelque part en Californie. « Taylor, arrête de tirer la langue à ta sœur ! »
Taylor était son nouveau prénom made in America by ses nouveaux parents, Sharon et Timothy Jones. Deux prénoms un peu cons mais lui, il les appelait « Mum » et « Dad », c’était donc bien plus facile à gérer. Mais si lui adoptait un comportement enjôleur, il n’en était pas de même pour sa sœur aînée, adoptée deux ans avant lui et qui, un an plus tôt, l’avait accueilli avec un rictus méprisant. Une véritable garce, dans tous les sens du terme. A douze ans, elle ne cessait de se prendre pour une adulte en parlant de crise d’adolescence. Autant dire que Jan et Taylor en eurent très vite marre. Et la guerre débuta. Taylor ayant vu dans un dessin animé qu’un journal intime, c’est très important pour une fille, il lui vola discrètement le sien et bien que tout ce qu’il y trouva lui parut très ennuyant, il prit un grand plaisir à débiter, à table, tout ce qu’elle avait pu y écrire de compromettant. Pour un gosse de six ans, compromettant voulait dire : « Je suis amoureuse de X »« Y veut faire ceci et cela à W » Ces trucs moches interdits aux moins de dix ans à la télé ! Le conflit ne se calmait que rarement et il fallait faire preuve d’une grande patience pour les supporter. Et la patience, Sharon Jones l’avait. Elle habitait dans un petit palais, elle avait des domestiques, elle ne travaillait pas. Tout son temps était offert à l’éducation plus que nécessaire de ces monstres-là.
STEP THREE 7 ans ; Quelque part en Californie. « Taylor, on ne mange pas les frites avec la cuillère ! »
Il avait déjà des habitudes bizarres. Comme manger des frites à la cuillère, oui. Ou la soupe à la fourchette. Ou piquer le rouge à lèvres de Mum pour s’en balafrer les lèvres. Ou regarder par la fenêtre ce que faisaient les voisins, avec une curiosité impudique qu’il ne cherchait jamais à cacher. Oui, c’était un gosse bizarre. Il malmenait sa grande sœur, adorait son frère et détestait ses trois nouveaux petits frangins. Trois petits Vietnamiens. Tous avec un an de différence, le moins âgé ayant deux ans et trop peu de force pour se tenir sur ses maigres jambes. Taylor ne les aimait pas. Ils ne parlaient pas un mot d’anglais – pour ceux qui parlaient, avaient des têtes d’abrutis et étaient même abrutis. Chose qu’il n’appréciait guère chez l’espèce humaine. Ils s’endormaient dans le même lit sous prétexte que ça leur faisait trop peur de dormir seuls. N’importe quoi. Taylor ne voulait même pas être dans la même pièce, ce qui ne dérangeait aucunement le couple puisqu’une domestique se contentait de lui apporter son repas dans la salle de jeux, alors qu’il massacrait sa Wii. Un jour, Jan eut proposa de rejouer à leurs vieux jeux de construction. Ces petits legos qu’on aime tant jeter par terre et qu’on déteste remettre dans leurs boites. Et tandis qu’ils jouaient tranquillement à créer une ville des plus étranges, le plus jeune des vietnamiens entre à quatre pattes et eut mine de vouloir jouer avec eux. Que nenni. Taylor n’avait pas de partager leur moment de plaisir intense avec cet énergumène. Il fit signe à Jan de s’en aller et tous deux laissèrent le bambin seul avec les legos. Et que fit ce dernier ? Il en mit un dans sa bouche et s’étouffa avec.
STEP FOUR 9 ans ; Quelque part en Californie. « - Taylooor, dix dollars, c’est trop cher ! »
La curiosité enfantine peut atteindre des degrés tout à fait adorables, dans un certain sens. Entre les questions sur la vie sexuelle des êtres vivants et les gestes malsains qui se résumaient à regarder par le trou de la serrure lorsque quelqu’un se change, il y avait des jours où leur innocence pouvait vraiment être mise en question. Nicéphore avait depuis un bon bout de temps compris que pour se construire une place dans le dur monde des enfants, il devait avoir des parents qui en avaient déjà une dans le monde des adultes. Sauf que lui, il n’avait pas de parents et le Taylor en lui n’était pas assez présent pour pouvoir prouver le contraire et démentir ce que les autres disaient en riant sur le fait qu’il n’était, en fin de compte, qu’un gosse abandonné et qui a eu la chance d’avoir la pitié de quelqu’un. Amber, sa nouvelle sœur venue du Chili, avait beau essayer de le consoler en lui disant qu’il fallait se foutre royalement des conneries de ces abrutis-là, ça n’y faisait rien. Il ne cessait d’y penser. Il avait fini par décider de se forger cette place seul, et ce quelques soient les moyens à utiliser. Au début, le moyen le plus efficace lui parut clair. La violence. Il suffisait d’en taper beaucoup pour se faire respecter du reste. Mais voilà, il n’avait ni le physique, ni l’envie et encore moins les aptitudes. Il oublia donc cette idée et en chercha une nouvelle. Devenir le meilleur de l’école. Ca lui paraissait être une bonne idée. Il devint donc le meilleur de l’école, à force de faire des yeux doux aux professeurs et à payer ceux qui n’avaient pas de cœur. Mais rien n’y changea, pire encore ! On le prenait pour un intello, pour les plus naïfs et pour ceux qui devinaient les coulisses de son intelligence, il n’était tout simplement qu’un gosse de riche prétentieux. Il chercha donc une nouvelle méthode pour créer sa célébrité. Et cette nouvelle méthode, il la trouva grâce aux conversations douteuses des domestiques. L’une d’elle traitant de **** une autre domestique fort bien faite de sa personne, la seconde répondit qu’elle était tout à fait d’accord et que malheureusement, la société corrompue aimait trop les belles personnes et leur facilité à ouvrir les cuisses. A part le fait qu’il ne comprit pas tout à fait les paroles des deux jeunes femmes, Taylor eut une idée fa-bu-leuse. Il se trouvait très joli, certaines filles le lui avaient dit et les amies de sa mère adoraient le tripoter. Alors autant en profiter. Sauf qu’à l’école, tripoter Taylor coûtait dix dollars les cinq minutes.
STEP FIVE 10 ans ; Quelque part en Californie. « Je veux trouver un vooooeu ! »
Devenu certes célèbre mais pas vraiment aimé, Taylor dut changer d’école. On le mit donc dans un établissement privé pour garçons, où on pensait que les risques seraient moindres. Les risques de quoi ? Les Jones n’en savaient rien ! Le directeur de l’ancienne école avait juste dit que la présence, non, l’existence même de Taylor posait problème et que le mettre dans un internat 100% masculin arrangerait peut-être les choses. Taylor devint donc interne dans une école primaire très conservatrice, où les élèves avaient droit à un quotidien strict. Il se plaignait chaque jour à ses parents, en leur racontant des anecdotes exagérées sur des faits dont l’exactitude restait à prouver. C’étaient souvent des journées mornes qui l’attendaient et il en profitait pour jouer avec ses camarades. L’innocence des jeux n’étant pas garantie, les lister ou même les décrire serait inutile. Disons juste qu’en apprenant ses exploits à son ancienne école, ses nouveaux amis l’adorèrent aussitôt et le prirent pour un camarade de jeux risqués. Comme sortir de l’école la nuit ou lire des magazines pornos ramenés par les plus âgés. Sauf que Taylor s’en ennuyait vite et son seul recourt devenait son frère, Rupert. Rupert était roux, faible, soumis et Taylor était certain que cinq ans plus tard, il deviendrait homo. Sauf que Rupert était amusant. Il lisait beaucoup, ce qui faisait qu’il avait énormément d’histoires à raconter. Si Taylor voulait connaître un livre, il le faisait lire à Rupert et ce dernier le lui racontait. Et l’une des histoires de Rupert parlait de Lune Rouge – événement auquel il avait assisté mais dont il se souvenait très peu – et de vœu. Et la pleine lune suivante, il fit son vœu et eut son pouvoir. Sauf qu’il ne s’en rendit pas vraiment compte.
STEP SIX 12 ans ; Quelque part en Californie. « Taylor, fuguons ! »
Le collège, Taylor avait tout de suite adoré. Les mecs mal dans leur peau. Les filles mal dans leur peau. C’était génial. Y’avait de la matière pour quelques mauvaises expériences. Bien évidemment, comme tout Jones, on l’avait inscrit dans un bon collège qui avait une bonne réputation… avant son arrivée. Il avait mal pris la décision de Jan d’aller dans un collège où on mettait mieux en valeur l’importance du foot dans la vie d’un gosse pré-pubère et il s’était retrouvé avec Amber et les sœurs Lily et Lisa (anciennement Yasmina et Boudour, deux jumelles algériennes adoptées depuis plus de huit mois). Si Amber avait ses moments « Cool » où, du haut de ses quatorze ans, elle sortait ses répliques grinçantes, noires et hautement gothiques, les jumelles s’acharnaient à garder un accent très ennuyeux et un caractère très lourd. Ce qui amenait Taylor à les embêter méchamment. Il brisa les deux colliers en or qu’elles adulaient – souvenir de leurs parents défunts, remplissaient leurs sacs de substances à l’odeur nauséabondes, n’hésitait aucunement à les insulter en public et affichait un total mépris pour elles. Bien sûr, Sharon Jones n’aimait pas ça. Mais elle avait une haute estime de la place qu’avait la fierté dans le cœur d’un homme, alors que Taylor n’avait ni fierté ni amour-propre et pouvait s’excuser hypocritement autant qu’elles le voulaient pour recommencer ses méfaits dans la seconde qui suivait. Jan plongé dans son foot à la con, Petrovna plongée dans sa dernière année d’études, Amber plongée dans son emo-attitude, il était le seul maître à bord, l’aîné de la fratrie, le dictateur solitaire. Arriva qu’un jour Amber se ramena avec des yeux rouges, un air désespéré, une liasse de billets, un sac à dos remplis d’affaires et une seule requête : La fugue. Sur le moment, ça lui parut très amusant et il demanda à l’accompagner en lui racontant que le professeur de mathématiques avait essayé d’abuser de lui, ce qu’elle crut assez facilement car, d’un côté, Taylor était un bon acteur et d’un autre, le pr. Muller avait trente ans et pas de femme, ce qui était louche. Elle l’accepta en tant que compagnon de misère et ils fuguèrent, à huit heures du matin. Sauf que cela s’avéra moins amusant que prévu. Il ne fallait pas gaspiller de l’argent, ils marchaient donc à pieds. Il ne fallait pas attirer l’attention, ils passaient donc par les chemins sombres et sales. Il en eut très vite marre. Quatre heures après le début de leur fugue, il posa le sac par terre et lui demanda de lui passer le portefeuille pour qu’il y ajoute ses propres économies. Elle le fit et Taylor, sans plus attendre, l’abandonna là, en plein milieu de la rue, avec son sac et courut jusqu’à en perdre haleine. En rentrant, il prétexta avoir juste séché l’école parce qu’il n’aimait pas les cours du matin, sans jamais parler d’Amber. Amber qu’on ne vit plus jamais.
STEP SEVEN 13 ans ; Quelque part en Californie. « Taylor, sors du lit ! »
Sharon Jones ayant débuté une légère dépression due à la disparition de leur fille Amber, Timothy Jones ne trouva qu’une solution pour lui rendre sa bonne humeur : remplacer Amber. Ainsi, la famille accueillit une nouvelle demoiselle, Helenka, dite Helen. Très coquette, très prétentieuse, très méprisante, elle s’attira immédiatement les foudres des sœurs Lily et Lisa en aimant faire « l’intéressante », jeu qui consistait à s’accaparer les tendresses des parents. La maisonnée avait donc droit régulièrement à des querelles rythmées par des hurlements stridents, des hululements féminins et des injures aigues. L’ambiance gueguerre ne plaisant pas à tout le monde, il eut plusieurs départs. Petrovna, son diplôme à la main, partit étudier dans une université lointaine, ne laissant derrière elle qu’une Sharon Jones heureuse. Jan, lui, en entrant au lycée, préféra l’internat pour mieux se concentrer sur ses études et son sport. Autant dire que Taylor se sentait libre comme l’air. Plus personne n’était là pour se mesurer à lui. Rupert était toujours aussi faible et Taylor n’aimait pas vraiment l’embêter. Si ce n’était en se faufilant dans sa chambre et en se collant contre lui la nuit, pour exiger qu’il lui raconte quelques histoires amusantes qui finissent mal. Voir très mal, Taylor aimait bien quand les personnages mourraient dans d’atroces souffrances. Morales ou physiques, il n’était pas raciste. Ceci dit, Rupert à lui seul n’arrivait absolument pas à remplir les journées de Taylor, quand celui-ci n’était pas en train d’effrayer ses camarades collégiens. Il s’était lié d’amitié avec une certaine Becky qui, contrairement à ce que son prénom pourrait faire croire, n’était ni rosse, ni ronde, ni naïve. Becky était une blondasse aussi narcissique que rancunière. Et lorsque certaines demoiselles se moquèrent d’elle, elle n’eut aucun scrupule à accepter d’aider Taylor dans ses affaires. Et parmi ses dernières figuraient la vente de jolies photos de demoiselles se changeant dans les vestiaires ou même, parfois, de sous-vêtements volés.
STEP EIGHT 15 ans ; Quelque part en Californie & New York « Taylor…garde ça pour toi. »
L’entrée de Yohan, âgé de vingt-trois ans, causa la stupéfaction de la fratrie. Il faut dire avant tout qu’aucun d’entre eux ne pouvait se dire proche du couple Jones. Personne ne les considérait comme de vrais parents, Sharon étant trop originale et Timothy trop riche et lorsqu’ils leur présentaient leur nouveau frère/sœur, personne ne se posait de questions. Sauf que lorsque Yohan, grand gringalet venu du Canada, devint leur frère, tout le monde s’en posa. Qu’on adopte un gosse de dix ans, c’est normal mais un immense poteau de vingt-trois ans, quelque chose clochait ! Petrovna empira l’anxiété générale en faisant la tête de celle qui sait mais ne tient pas à en parler. On décida donc d’enquêter sur le cas Yohan Jones. Ce dernier ne vivait pas avec eux mais dans un appartement à New York, ce qui leur faisait une belle trottée. Mais que nenni, nous parlons de la fratrie Jones ! Helenka réussit facilement à se procurer l’adresse du suspect et il fut décidé que Jan, revenu de son internat pour les vacances, et Taylor iraient à New York pour rendre une visite surprise à leur « cher ainé ». Ils firent donc ainsi et après une querelle concernant le moyen de transport à prendre, quelques heures de marche et de disputes, ils arrivèrent devant la porte de Yohan… Young. Nom de merde… Ils sonnèrent à la porte plusieurs fois avant qu’une tête familière n’apparaisse en peignoir dans un air que Jan et Taylor devinaient assez. « J’étais en train de coucher avec quelqu’un et vous venez de nous interrompre. » Sauf que la tête appartenait à leur « père », Timothy Jones, et que la voix qui cria « Tim’, qui est-ce » n’était certainement pas celle de Sharon Jones. Leur monde s’écroula… ou pas. Deux douches et des tasses de thé plus tard, l’affaire fut close. Certes, Timothy Jones était gay. Certes, Yohan était son amant. Certes, Sharon Jones n’en savait rien. Mais bon. La vie continuait. Leur père leur demanda de ne raconter cela à personne mais si Jan tint sa langue, Taylor ne le fit absolument pas. A peine rentré, il exposa le crime paternel aux yeux et aux oreilles de tous. Et Lily, dégoûtée, se hâta d’aller tout raconter à Sharon Jones.
STEP NINE 15 ans ; Quelque part en Californie & New York « Taylor… C'est ça, la vie, pour toi ? »
Vous imaginez bien que le couple Jones ne pouvait être dissous. Car bien évidemment, Sharon Jones était déjà au courant de l’orientation sexuelle de son mari et de ses aventures, tout comme elle savait pourquoi Yohan Young était devenu Yohan Jones. Sauf que si elle l’acceptait avec le sourire, il n’en était pas de même pour la fratrie. Et comment consoler une fratrie Jones de mauvaise humeur ? En y ajoutant des membres, bien entendu ! Ainsi Pattie et Gin Jones entrèrent dans la famille. Pattie était une rousse qui parlait un anglais d’irlandaise et Gin était un asiatique qui fut vite aimé par les deux Vietnamiens déjà présents. Mais ces deux-là n’eurent pas vraiment à faire avec Taylor. Ce qui était tout à fait normal puisque ce dernier, avec Rupert, avait changé de lycée. Ayant été surpris dans une salle à se faire tripoter par un autre élève de sexe masculin, Taylor n’avait pas eu d’autres choix et Rupert était comme toujours envoyé en tant que chaperon. Chaperon qui en souffrit énormément cette année-là. Rappelez-vous que six ans plus tôt, Taylor pensait déjà que son frère n’allait avoir aucune attirance pour les demoiselles et que, grâce à son caractère, il viendrait à en souffrir plus que nécessaire. Evidemment, Taylor en profita. Envoyés à New York où ils habitaient un appartement voisin à celui de Yohan, Taylor n’hésitait absolument pas à se servir de cette liberté mal surveillée. Voire pas du tout, Yohan ayant mieux à faire. Entre des nuits dans les quartiers chauds de la ville et les matins où ils se réveillaient soit chez quelqu’un d’autre, soit dans un hôtel, Rupert ne supporta pas longtemps ce train de vie que Taylor adorait. Si ce dernier aimait voltiger de bras en bras, son frère avait d’autres ambitions. Avoir un quotidien calme, des études sereines, vous voyez le genre. Mais Taylor n’était absolument pas du même avis et pour l’embêter plus méchamment encore, il n’hésitait pas à… coucher avec lui. Ce, qui, petit à petit, brisait les nerfs de ce pauvre Rupert. Et quand un matin, Yohan les découvrit dormant ensemble, nus, l’adolescent claqua la porte en sanglots. Alors que Yohan et Taylor, en toute franchise, s’en foutaient d’avoir vu ou d’avoir été vus. Le seul soucis, c’est qu’en courant dans les escaliers et en traversant bêtement la rue… Rupert mourut.
STEP TEN 18 ans ; New York & Rome « Taylor, c’en est assez. »
Le décès de Rupert sonna la fin de la liberté de Taylor et on discuta longtemps de son avenir. Ou plutôt, de ce qu’on pouvait en faire. Certains pensaient à l’internat mais tous savaient que ça ne donnerait pas un bon résultat. Et pendant qu’ils réfléchissaient, Taylor était resté à New York, sans rien changer à son quotidien. Pire encore. Ayant le droit de travailler son autorisation parentale, il réussit à se faire enrôler dans un bar gay. C’est bien là qu’on lui donna son surnom de travail, Tagada. Tagada était populaire. Elle était vicieuse, certes, mais n’était pas difficile, tant que le client avait moins de quarante ans et le fric qui va avec. Et Tagada avait le don de comprendre n’importe qui. Elle devinait vos récents problèmes, vos derniers soucis. Si personne ne tiltait au sujet de son pouvoir, tout le monde en était heureux. Mais avoir un tel job enfonça encore plus sa réputation dans un mal-être qui arriva jusqu’au oreilles de Yohan et donc du père. Timothy Jones ne tenait absolument pas à ce que son fils noie son chagrin – qui était d’avoir perdu son frère… - dans la débauche et la décision que toute la famille cherchait depuis des mois fut trouvée. L’envoyer à l’étranger. On lui laissait le choix, il pouvait même aller se pendre en Sibérie si tel était son désir. Mais Taylor choisit Rome. Pourquoi ? Parce que bien entendu, son père ne voulait l’envoyer que là-bas. L’un de ses amis avait une petite entreprise et il tenait à ce que Taylor y travaille. Il avait son bac, il pouvait le faire. Même commencer en bas de l’échelle. Les adieux furent durs, il était quand même un des premiers membres de la fratrie Jones même si trois avaient disparu par sa faute. Arrivé à Rome, il ne prit même pas la peine de regarder autour de lui ou même de s’excuser au pauvre gars qui tenait la pancarte : « Taylor Jones » dans ses mains et partit immédiatement pour la gare. Direction Milan.
STEP ELEVEN 19 ans ; Milan « Tagada, MERDE ! »
Il n’avait pas choisi Milan par hasard. Milan était la ville où Jan séjournait. Jan faisait encore et toujours du foot et s’entraînait là, grâce à des connaissances liées aux Jones. Mais Taylor se foutait de ce que faisait Jan. Tout ce qui lui importait était que ce dernier garde le silence quant à sa présence et l’héberge jusqu’à ce qu’il trouve du travail et où dormir. Le travail, il n’y réfléchit pas trop. Hôte à domicile, ça sonnait bien. Et ça lui permettait de dormir chez les gens. Il ne donnait plus son nom et ne se faisait appeler que par son « pseudonyme » d’hôte. Tagada. C'était bien, simple et ça l'arrangerait énormément. Ca l'arrange toujours d'ailleurs. Parce que depuis, la vie de Tagada n'a pas bien changé. Il vit toujours chez son frère - qui est de moins en moins là -, il est toujours hôte, il embête toujours autant les passants et n'a qu'une seule envie : vous pourrir la vie, pour remplir la sienne.
« - Mr Jones, avez-vous eu une enfance heureuse ? - Oh, dude, tu ne sais pas à quel point ! J'ai eu droit à treize jouets, qui dit mieux ? J'en ai cassé quelques uns mais tous m'adorent. Really. »
Dernière édition par Nicéphore T. Jones le Mar 7 Sep - 7:03, édité 2 fois
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Lun 16 Aoû - 15:21
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Lun 16 Aoû - 15:25
Hello !
En tout premier lieu, bienvenue sur UA, l'amerloque ! Et joli début de fiche, plein d'humour, on attend pour la suite. Mais pour répondre à tes questions : -July t'offrira certainement le plus de bonbons. -Pour le pouvoir, c'est original !, je pense que ça ira. Cependant, Tagada n'est que de rang C, il faudrait donc, à mon avis, qu'il ne puisse pas non plus remonter trop loin dans le temps, histoire de ne pas outrepasser les limites de puissance des pactisants de ce rang, puisque leurs champs d'action sont censés être limités. J'en ferai part aux administratrices, mais le mois unique me semble peut-être le seuil maximal. Je te tiens au courant sur ce point <3 -Aïe, en revanche, il faut un nom à ton stella s'il s'en souvient un minimum, de façon obligatoire, je le crains. Les administratrices modifieront ton pseudo', mais il te faut en dénicher un, même très court.
Sur ce, bon courage pour la suite de la fiche, n'oublie pas de prévenir lorsque tu en as terminé ! Et n'hésite pas si tu as d'autres questions.
Dernière édition par Vito Vargas le Lun 16 Aoû - 16:50, édité 2 fois
Aurelio Pastore
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Lun 16 Aoû - 15:34
Oscar Wilde *.* Merci mon dieu, je suis pas la seule fanatique de ses citations ... Rien que pour ça, je te souhaite la bienvenue ici. Et merci de m'avoir donné un grand sourire
Angelo Tornioli
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Lun 16 Aoû - 15:44
Un genderbend d'Alfred pour un personnage masculin ? o/ J'aime beaucoup ton début de fiche. Et Oscar Wilde caylebien, d'touaçon. Bienvenue ~
Alitia Toscane
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Lun 16 Aoû - 15:48
Bienvenue jeune fraise!
Aaron Matteotti
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Lun 16 Aoû - 15:59
Bienvenue ! (Watchaa : Mon premier bienvenue... Que d'émotions.) J'kiffe ton personnage. Les travestis, c'est le bien.
Bonne chance pour la suite ! ♥. Edit : Vito, tu sers à rien. T'as même pas validé son code. C'pas bien. Edit Vito : J'finissais de répondre à un sujet dans la partie team & de manger, si ça te dit quelque chose, Kittynator. Edit Aaron : Non.
Dernière édition par Aaron Matteotti le Lun 16 Aoû - 17:25, édité 1 fois
Vito Vargas
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Lun 16 Aoû - 16:49
Bon, après discussion, plusieurs mois, c'est effectivement trop ! Donc va un maximum d'un mois <3 Pis July est okay pour que pas de nom pour le stella, même si comme dans ma tête Tagada n'avait pas tout à fait oublié qu'il avait passé un pacte, j'aurais plutôt compris qu'il avait suffisamment de souvenirs de sa poussière d'étoile pour lui faire don d'un nom.
Donc, sur ce, bonne continuation !
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Lun 16 Aoû - 17:31
Merci beaucoup à tous ♥ *Toute contente que Tagada plaise*
J'adore les citations d'Oscar Wilde et de Woody Allen ! J'ai dû réfléchir longuement pour choisir entre les deux *^*
Angelo Tornioli a écrit:
Un genderbend d'Alfred pour un personnage masculin ? o/
Oh mais je compte bien utiliser Alfred sans genderbend aussi ♥
Vito > J'ai modifié pour le pouvoir ! (Et vu que ce n'est pas le pouvoir en lui-même qui dérange, je suis rassurée <3) Quant au nom, je me rends compte que je devrais plus expliquer leur 'relation' qui au fond... n'existe pas du tout. Mais je pense que ça sera plus clair avec l'histoire (vu que le pacte date de presque dix ans ! xD)
Edit Vito : Je te hais. xD
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Lun 16 Aoû - 17:39
Super ton petit personnage ! Encore encore ! Bienvenue sur UA.
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Mar 17 Aoû - 7:20
Nyah ! Bienvenue ! \o/
Et ton personnage m'effraie d'avance, pauvre May s'il le rencontre. x'DD
Nicéphore T. Jones
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Mar 7 Sep - 7:05
Et voilà ! Fiche enfin ter-- Attendez. --minée ! *se prend la porte dignement*
Vito Vargas
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Mar 7 Sep - 8:26
Bon, alors, TOI. SALE CHOSE.
Déjà, avant toute chose :
Mais pauvre Rupert 8D. Ahaha la durite 8D. Pas bien solide ! Pis je suis archi-contre les âneries des parents adoptifs. "Il pouvait même aller se pendre en Sibérie." Mais allez crever quoi. TAYLOR RULZ.
Ensuite ... Omagad, comment j'ai adulé. Non pis les frères et soeurs quoi. Pis Amber. Pis Yohan. Pis ces abrutis de parents. C'est huge. Je plussoie absolument sur tout, hormis les points évoqués plus hauts qui sont lamentablement cacateux, mais pas du bon caca de la Force - c'est le caca obscur là <3. Mais bref. Tagada. Ca c'est de l'innovation. Et le personnage est juste énorme. J'ADULE ET JE T'AIME parce que c'était genre trop jouissif à lire. Pis depuis le temps qu'on attendait.
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥ Mar 7 Sep - 17:49
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Sujet: Re: Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥
Tagada - Et l'humanité a touché le fond ♥
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