NOM; Ace. Mon pactisant me nomme Ace parce que comme L’As je serais sa carte la plus puissante. Son accès direct aux spirales dominatrices d’une puissance sans équivoque.
SURNOM; Pas de surnoms. Juste Ace. On me surnomme parfois « le drogué », « la défonce ».
SEXE; Masculin.
APPARTENANCE; Dante Lenovo.
MÉTIER; Mon Pactisant est un écrivain fantastique quand a moi, j’dépense son fric o/

INTÉRIEUR;











EXTÉRIEUR;


Ace…c’est la seule chose que j’ai de lui. Son nom. Un nom que j’ai si souvent soupiré la nuit dernière. Un mec comme ça, on en rencontre peu et c’est sans doute pour ça que je me suis laissé embobiner par son regard de braise et son sourire charmeur. Normalement, je fais plus attention. Je suis plus prudente, sachant a quoi m’attendre venant de beaux gosse comme cela, mais là je n’ai pas pu résister. Je le voulais, plus qu’autre chose tout en sachant que ce ne serait que pour le temps d’une nuit.

Je l’ai rencontré dans un bar miteux. Il était assis dans un coin sombre, un joint a la bouche. Cette bouche aux lèvres parfaitement bien dessinées. Il se tourna vers moi, sentant sans doute mon regard rivé sur lui et ses lippes s’étirèrent en un sourire charmeur qui semblaient illuminer son visage, le rendant encore plus séduisant. Il en devenait presque…hypnotique. Je m’approchais de lui. Fière, droite, sensuelle. Une prédatrice a l’affut et il orienta son corps vers le mien. Noir. Noir était ce qui prédominait chez lui. Ses yeux, ses cheveux, ses habits, son tatouage, son aura. Je ne pouvais m’empêcher de frissonner. Il dégageait un halo dangereux et mystérieux, tellement sombre. Je ne pouvais y résister. Après quelques mots échangés, on quittait le bar et je l’emmenais chez moi. Étais-je devenu folle d’inviter un parfait inconnu chez moi ? Peut-être bien.

Je le découvrais plus amplement contre la porte de ma chambre. Ses lèvres, en plus d’être un véritable appel à la débauche la plus poussée, étaient douces et brulantes. Son corps contre le mien ne semblait être que muscles roulant contre mes formes plantureuses. Sa peau était douce et légèrement halée et avait une fragrance musquée qui me faisait perdre tête. Ses gestes étaient si assurés et empli de confiance. Sa manière d’embrasser était me laissait pantelante et envieuse de tellement plus alors qu’il m’effleurait à peine.

Je glissais une main dans sa chevelure mi- longue si soyeuse. Des mèches aussi noires que le charbon encadraient son visage fin et séduisant. Je me séparais de ses lèvres pour reprendre un souffle qui ne m’appartenait plus et contemplait son visage. Ses traits semblaient taillés dans la pierre tant ils étaient droits et fiers : son nez fin et sa mâchoire carrée lui donnait un physique si masculin et volontaire. Tellement séduisant. Mais le plus attrayant chez lui, qui me laissait sans voix et empli de concupiscence était ses yeux d’un noir insondable semblant bruler comme de la braise. Ses deux orbes de fusain n’étaient que dangers et mystères. Une ombrelle de longs cils noirs les entourait accentuant l’intensité qu’ils dégageaient.

Il se recula de mon corps fébrile qui irradiait de luxure et ôta sa chemise ébène dévoilant un torse élancé et dessiner par une musculature discrète mais des plus attrayante. Un tatouage à l’encre vraiment sombre paraît la majeure partie de son bras gauche. Je promenais ma main pâle sur sa peau bronzé et tendu, sentant ses muscles et abdominaux rouler sous ma paume. Il revint à l’attaque de mon corps, me cerclant de ses bras musclés et me souleva contre la porte avec une aisance déconcertante. Je m’accrochais à ses épaules sentant ses omoplates puissantes saillantes sous mes paumes.

Cette nuit-là je fus ravagée par cet homme qui ne me laissa que son nom et le sentiment d’avoir joué avec le feu.

HISTOIRE;


Il paraît que je ne suis qu’une simple poussière d’étoile qui, sous le vœu d’un homme désespéré, se transforma en humain…sans vraiment l’être. Juste d’apparence. Pour ainsi dire, avant Dante, je ne me souvient pas de ce que ma vie était. Avais-je existé auparavant ? Je ne le sais pas. Laissez moi vous conter ma venue…

« Je n’ai jamais lu un livre aussi insipide et ennuyeux. » Les nouvelles Milanaises
« Le travail de Lenovo est un puissant somnifère. » Le club des écrivains.
« N’achetez surtout pas ce déchet, un véritable torchon » L’association des lecteurs Milanais.

Un raté. Dante Lenovo n’était qu’un raté qui avait eu une chance de publier son livre que grâce a la gloire passée de son père, Silvestrio Lenovo, écrivain de talent. Agé de vingt-deux ans, Dante sortait d’une école d’écrivain populaire. Séduisant, intelligent, talentueux mais dénudé d’imagination, il avait écrit son premier manuscrit dans l’année. La maison de publication de son père, n’hésita pas une seconde et publia le livre du fils prodige sans même sérieusement le lire, apeurée qu’une autre maison d’édition leur vole l’enfant du Talentueux Lenovo Senior.

Un bide. Voilà le résultat des longs mois de travails et de nuits blanche du jeune érudit. Son livre reçu les pires critiques et commentaires. Le jeune homme se refugia chez lui, ne sortant que la nuit. Il se mit à boire et a cessé de répondre au téléphone. L’écriture était tout pour Dante, c’était son propre échappatoire, sa manière de s’exprimer et sans cette dernière, il n’était rien. Il sombra dans une dépression sans retour, cessant de vivre. Mort de l’intérieur. Exécuté en même temps que son livre.

Et pourtant, rien n’est jamais perdu n’est-ce pas ? Un soir alors que notre protagoniste titubait sous l’alcool dans une rue sombre, son subconscient sembla s’éveiller et quelque chose se passa. J’apparus. Je n’étais plus une poussière d’étoile mais un homme nu contemplant mon pactisant avec un rictus désobligeant. Il me regarda complètement éberlué et je m’approchais de lui et lui lançait d’un ton mielleux :

- « Eh bien…pour un pactisant tu n’as pas l’air bien puissant et pourtant pour m’appeler…il en faut beaucoup. »

Dante tituba en arrière, tombant sans grâce sur les pavés de pierre du sol. Je soupirais, lui tendant ma main pour l’aider à se relever et à regagner un peu de sa dignité.

- « Qui…Qui êtes-vous… ? Je…Vous êtes nu…pourquoi êtes-vous la ? J…je n’ai pas d’argent. Allez-vous me tuez ? »

J’haussais un sourcil et l’attrapait par le col pour soulever son corps empestant l’alcool puis murmurait d’une voix lasse :

- « Qui je suis ? A toi de me le dire en me donnant un nom. Oui en effet je suis nu, quel sens de l’observation. Je suis là parce que tu m’appelé et pour ainsi exaucer ton souhait. J’en ai rien à foutre de ton argent et si je vais te tuer ? On verra. »

Un fois l’homme calmé, il m’emmena chez lui et m’offrit des vêtements. Pas trop tôt, je commençais à sérieusement me les peler. Après quelques temps nous nous installions derrière un verre de vin et Dante, qui ne me quittait pas des yeux finit par parler d’une voix pâteuse :

- « Je ne comprends pas…Vous dites que je vous ai appelé ? Comment ? Et Pourquoi ? Et je dois vous donner un nom ? Vous n’en avez pas ? Comment est-ce possible ? »

Pendant son interrogatoire, je portais le verre à mes lèvres et c’est en cette nuit que ma spirale débuta alors que ma bouche découvrait le pouvoir merveilleux de l’alcool. Je m’abreuvais tout entier de ce liquide merveilleux finissant d’une traite mon verre. Je plongeais mes yeux dans les siens et soupirais :

- « Je suis une poussière d’étoile, une Stella. Seul des humains avec de l’énergie spirituelle peuvent m’appeler. Des pactisants. Tu veux que j’exauce l’un de tes vœux en contrepartie de quelque chose dont je déciderai selon l’importance de ton souhait. Je possède un pouvoir. Je suis ce que vous appelez un illusionniste des rêves, je peux faire voir aux humains absolument tout ce que je veux, je peux t’emmener dans des mondes lointains, te faire voir les choses les plus effrayantes mais tout cela dans les rêves et les songes, lorsque tu dormiras. Tu pourras user de mon pouvoir pour toi ou contre d’autres. »

Alors que Dante me contemplait d’un air ahuri, je me servais un nouveau verre du breuvage délicieux…qui eut la même fin que celui d’avant. L’alcool commençait déjà à me monter à la tête et j’adorais cette sensation. Tout semblait me rendre euphorique et heureux. C’était grisant, parfait. Plus. Encore plus. L’autre brisa ma concentration en s’écriant :

- « C’est extraordinaire ! J’ai besoin d’imagination ! J’ai besoin de voyager, de m’inspirer d’un monde diffèrent ! Donne moi ton pouvoir. Fais moi voir des choses que je pourrais écrire et ainsi devenir l’écrivain que j’ai toujours voulu être. Aide moi à publier des dizaines de livre a succès. »

Je souriais. Il était tombé dans le panneau et la contrepartie de son vœu était des plus appréciables. Un nouveau verre pour fêter cela. Ma tête me tournait et le monde semblait de moins en moins instable. Je ne cessais de sourire. C’était merveilleux.

- « Donne moi un nom, Pactisant et je serais tiens. »

Il sembla réfléchir quelques instants alors que je peinais à me concentrer sur ses mots.

- « Ace ! Tu te nommeras Ace. Tout comme l’As, tu seras ma carte la plus puissante et tu m’apporteras la gloire que je désire. »

Je souriais et scellait mon accord d’un nouveau verre et puis nous allâmes nous coucher. Je m’endormais confortablement sur son canapé, la sensation merveilleuse que m’apportait l’alcool me transportant dans des rêves exaltants.



Deux ans plus tard…



« Dante Lenovo nous transporte de son imagination débordante. Un vrai Roi de l’écriture qui dépasse de bien loin son illustre père. » La fédération mondiale des écrivains.
« Encore une fois, Lenovo a su démontrer son talent avec Brio. Merci du voyage Dante. » L’Express Italie
« L’imagination extraordinaire de Lenovo ne semble posséder aucune limite. Maître des mots, il ne cesse de ravir. » Charte des livres internationals.

Du statu de moins que rien, mon pactisant était maintenant un Dieu, dominant de ses écrits et publications le monde des lecteurs. De son appartement miteux, nous habitions maintenant un appartement immense au dernier étage du plus haut bâtiment de Milan. Chaque nuit, je lui insufflais des visions merveilleuses, je le transportais dans des mondes extraordinaires et au reveil, il les retranscrivait sur son ordinateur. Avec toute cette gloire, Dante perdait tête. Il se servait de mon pouvoir sans scrupule, et agissait parfois comme le pire des connards, digne de moi.

Il devenait puissant moi je n’étais qu’une épave. Mais à la fin de cette histoire, c'est moi qui gagnait, après tout, je volais l'âme d'un artiste talentueux et de renom, ce n'était pas rien. Loin étaient les temps où le vin me suffisait. Plus, il m’en fallait toujours plus. Et si ça continuait Dante et moi courrions à notre perdition. Oh well.

TYPE; Umana
POUVOIR; Instiller dans l'esprit des gens des images, toutes sortes. L'illusion mais grâce aux rêves.
VOEU; Devenir l'un des plus grands écrivains fantastiques du monde
DATE DU PACTE; 18 Novembre 2025

Prénom ou pseudo habituel; Tim.
Avatar; Portgas D. Ace. One Piece.
Avez-vous lu le règlement ? Validé par Aya
Comment avez-vous connu le forum ? L'ami d'un ami à qui un ami à dit que le dernier de ses amis...bref.
Un mot à dire ? C'normal qu'on puisse pas se connecter aux cbs? Moi les cbs. J'aime ça o/