NOM; Velasco PRÉNOM; Miguel –allez-y, faite-là, votre blague- SURNOM; « Miguel », c’est pas suffisant ? SEXE; M DATE DE NAISSANCE; 24 juillet 1998 – 28 ans LIEU DE NAISSANCE; Valence, Espagne. SITUATION SOCIALE; Marié (à son art) MÉTIER; Artiste-peintre sans le sou. NATIONALITÉ; Espagnole.
La vostra persona
INTÉRIEUR; Miguel, c’est le bon gars, tu vois. Le brave type. Facile à vivre, facile à apprécier. Faut dire que son sourire et sa tronche… Ouais, non, même toute son allure en général, ça inspire pas mal confiance. Miguel, tu l’aperçois au coin d’un rue, à la terrasse d’un café, et tu te dis « Lui, il est cool ». Bref, avant même de lui parler, tu te sens à l’aise. Parce que ouaip, il est comme ça. Avec son expression aussi chaleureuse que le soleil de chez lui, avec son sourire calme, maitrisé, plein d’une joie paisible, un peu rieur et taquin aussi parfois, il te donne l’impression d’un mec sur lequel tu peux compter dans toutes situation, que ce soit une baston de rue ou un problème perso. Il t’écoutera, se moquera peut-être un peu, jamais méchamment, te donnera les conseils et les mots justes dont t’as besoin, puis il te proposera une cigarette – des mentols – et une menzana, ou alors te forcera à lever tes fesses pour l’accompagner dans une de ses petites balades nocturnes à travers la ville. Bref, il passera vite à autre chose. Parce que Miguel, c’est comme un chat, il a besoin d’être dehors, tout le temps. D’ailleurs, s’il était un animal, il serait un justement un chat. Mais pas le chat de salon qui reste sur le radiateur pour ronronner allégrement, pas plus que le félin sauvage qui ne se laisse pas approcher. Non non, du tout. Lui, ça serait plutôt le bon gros matou à la Thomas O’Maley, qui traine dans les ruelles arrières des pizzerias en attendant que le cuistot vienne lui donner les restes. Accessoirement, le brun a beau avoir une hygiène irréprochable, à contrario, il a un rythme de vie assez déplorable. Ce type aime se faire plaisir et se fiche de respecter les codes de la société. Là où les gens normaux se lèvent à 7h pour aller travailler, lui, il émerge en plein milieu d’après-midi pour d’aller fumer dans un coin en hauteur. Bref, une vie de négligé. Certes. C’est peut-être ce style de vie qui attire les autres à lui, naturellement, comme un aimant. Car Miguel, c’est aussi le gars forcément très sociable, ouvert, celui qui hésitera absolument pas une microseconde à venir vers les autres le plus amicalement du monde. Faut dire, il a était élevé comme ça aussi. Et qui dit sociable dit charmeur. Et attention hein. Charmeur. Pas dragueur. Il a un grand respect pour les femmes, tout en les considérants comme l’égal de l’homme, tout connement. Et il les aime les femmes. Les femmes aux jolies courbes, aux belles formes. La simple vue d’une jolie demoiselle lui suffit généralement pour le mettre de bonne humeur, sans pour autant penser plus que ça à elle. Après tout, c’est tout de même plus agréable à voir qu’une tête masculine de bon matin, non ? Donc oui, il lui en faut pas beaucoup. On vous l’a dit, il est pas difficile à vivre ce gars. C’est comme avoir un gros chat chez soi.
Tu penses que c’est fini ? Oui ? Et ba détrompe-toi. Tu croyais que tout était blanc ou noir dans le monde ? Encore heureux que non. Parce que dans le genre, Miguel, il est pas mal gris. Certes, quand tu le connais pas – quoique même si tu le connais en fait – c’est un super type. On lui trouve pas des masses de défauts, ni rien. Et ba mon vieux. Quand on le côtois de plus près, de bien plus près, on se rend compte à quel point il peut être froid avec les gens qu’il méprise. Exit le bon matou, bonjour au regard gelé qui te fait bien comprendre à quel point il aimerait te tordre le cou, à quel point tu vaux encore moins qu’un ver de terre à ses yeux. Enfin, pour mériter ça, il faudrait vraiment être une ordure finie, ou lui avoir fait une sale crasse. Une sale crasse qu’il n’oubliera pas de sitôt. Car Miguel a la rancune particulièrement tenace. Quant au proverbe « la vengeance est un plat qui se mange froid », il semble lui aller à la perfection. Bon, pas de panique, monsieur n’est pas du genre à fomenter un plan machiavélique dans l’optique d’une future vengeance à ton égard, non. C’est trop fatiguant. Il se contentera juste d’attendre qu’une occasion se présente, un jour, et s’il n’a pas quelque chose de plus important à faire, il la saisira. A part ça, que dire d’autre ? Qu’il a beau être d’un naturel prudent, il a tendance à agir sous le coup de l’impulsivité dans une situation de crise. Qu’il explose rarement, préférant laisser la place à une colère sourde et froide. Qu’il aime les skittles arc-en-ciel. Et qu’il adore dormir avec un vieux pantalon en guise de pyjama, rien d’autre. Même en plein hiver. Mais il le vit bien.
EXTÉRIEUR; C’est pas dur, Miguel, c’est l’archétype même de l’hispanique de base. Enfin, quand on dit « hispanique » vous pensez à quoi en fait ? A un homme relativement grand et bien bâti, la peau mate, les cheveux sombres, les yeux verts ? Et ben oui. Voilà, Miguel c’est ça. ‘Voyez, c’est pas dur de décrire physiquement quelqu’un. En une ligne, c’est fait. Pourquoi s’embêter à faire plus ? Passons à autre chose.
…..Comment ça non ?
Erf. Alors C’est parti pour le lyrisme et les adjectifs-qualificatifs-compliqués-qui-vont-trop-vous-faire-croire-que-j’écris-bien.
C’est vrai que dans l’ensemble, Miguel c’est un mec qu’on remarque de loin. De très loin. Pas parce que c’est un super beau gosse de-la-mort-qui tue-et-qui-expulse-trois-litres-de-phéromones-par-demi-heure. C’est juste qu’il est grand. Genre le grand qui a bien écouté sa madre pendant toute son enfance et qui a toujours mangé sa soupe et ses épinards bien gentiment. Et ouais les enfants. Du coup, il a la chance d’être bien bâti. C’est pas une brindille tout sèche, sans pour autant être un monstre de muscles et de sueur. Il a même tendance à fuit les salles de gym ou toute activité physique quelle qu’elle soit. La vérité, c’est qu’au fond, il y a pas mal de chance qu’avec le temps, il s’encroûte et prenne du gras. Les seules choses qui le sauvent pour le moment sont sa jeunesse et son mètre quatre-vingt-trois et un quart. Triste destinée. Toute son allure générale montre son indépendance et son besoin de liberté. Il n’accorde aucune importance à le mode ou au style, on sait juste qu’il s’habille toujours le plus simplement possible, souvent de vêtements amples et légers, parfois largement tachés de peinture - Non il est pas pauvre. C’est un besoin d’in-dé-pen-dance on a dit ! – et se fiche bien que telle ou telle couleur de chemise ne va pas avec ses yeux ou son teint. Un teint d’ailleurs mat, caractéristique de ces habitants de pays chauds et ensoleillés, qui passent leur vie à l’extérieur. Ses yeux verts profonds sont la première chose que l’on remarque dans son visage imberbe et trop expressif. Il se targue d’ailleurs d’avoir une vue quasiment parfaite, ce qui n’est pas plus mal vu son métier, mais comme on ne peut pas tout avoir, il a toujours été un peu dur d’oreille en contrepartie. Rien de vraiment handicapant mais il a toujours tendance à mettre le son de la télé ou de la musique un peu trop fort, ou à faire répéter les gens quand ils parlent. En fait, c'est plus chiant pour les autres que pour lui.
La plus grande hantise de Miguel, tout du moins dans ce périmètre bien défini que les gens normaux appellent une « salle de bain », c’est la terrible madame Brosse à cheveux. Monsieur Peigne aussi est pas mal flippant dans son genre. Pour notre homme, ces deux-là sont the couple of the Death. Si si, vraiment. D’ailleurs, ça se voit, on dirait qu’il n’a jamais coiffé ses tifs de sa vie. Mais au moins il les lave. Souvent même. …Bien, en fait, pour éviter d’être de trop mauvaise foi, faut avouer que si, ça lui arrive quand même de se coiffer, le garçon. Une jolie coupe pot de gel plus cheveux ramenés en arrière, avec costar-cravate et tout le tintouin. Parce que va te ramener en mode clodo dans une expo de jeunes artistes toi. Tu vas vite voir que ça fait très tâche. Mais il n’empêche que pour voir Miguel comme ça, il faut te lever tôt.
Alors, vous voyez comment j'ai trop réussi à vous faire croire que.... Fail ? Quoi fail ? Je connais pas ce mot moi.
la vostra vita
HISTOIRE;
- Cabrón ! Hijo de puta ! BASTARDO !
Ceci, mesdames et messieurs, est un espagnol en rogne. (Pour le bien des âmes pures et des petits n’enfants – qu’il ne faut pas faire fuir, Pedobear ne le pardonnerai pas – toute traduction sera censurée)
Un espagnol jeune, talentueux et intelligent, qui ce soir-là aurait pu devenir le peintre le plus renommé de l’année et des suivantes. S’il avait été moins naïf.
Mais à la place, il se retrouvait là, piteusement accoudé à la rambarde d’une terrasse de ce musée pour nouveaux riches, à hurler des insultes dans sa langue natale. C’est dingue de voir à quel point votre vie peut prendre une direction totalement différente de celle prévue au départ.
Et pour comprendre tout ça, il faut activer le mode Flash-back.
Donc, flash-back ON. On éteint la télé, les consoles, on pose les livres, et on écoute religieusem-/oh, un bus/
Pour tout dire, Miguel n’a pas eu une existence des plus rebondissantes. Au contraire, elle est même particulièrement banale. Logique. 99% de la population mondiale EST normale, le 1% restant ne concernant que les Batman, Spiderman, Actionman et autre Chuck Norris. Miguel n’ayant jamais compté jusqu’à deux fois l’infini (En fait, c’est juste par flémingite aiguë, mais chut. C’est un espagnol, ne l’oublions pas.), il ne fait donc pas parti de ce ridicule petit pourcent exceptionnel. Né en plein été dans une petite ville rattachée à Valence, il a eu une enfance décente, heureuse et calme. Son père tenait des vignes, sa mère l’aidait, et lui il passait son temps dans les champs. Histoire de balayer l’image rose bonbon façon la Petite Maison dans la Prairie en train de s’imprimer dans certains cerveaux, il faut savoir que tout n’était pas idéal non plus. Comme dans toutes les familles, il y a eu des hauts et des bas. Quelques disputes parentales, quelques magistrales fessés, quelques larmes…. Comme partout. Miguel a toujours eu en tête de reprendre le vignoble familial. Enfin, disons plutôt que ça lui semblait naturel. Pourtant, plus les années passent et plus son côté rêveur le transporte sur le chemin des arts, notamment la peinture et la musique. Suivre son parcours scolaire est aussi facile que réussir à comprendre des épisodes de Plus Belle la Vie dans le désordre en version russe sous-titré tchécoslovaque avec l’image en noir et blanc et à 90°. En somme, après des années lycée un peu catastrophique du au caractère peu studieux de Miguel, le bonhomme a tenté pas mal de choses. Une année de fac de lettre par-ci, une année d’Histoire par-là, une année de petits boulots ensuite…. Ce n’est qu’après quatre ou cinq années d’hésitation qu’il décide finalement de se lancer pour de bon dans la peinture, ayant un don inné pour le dessin. Pourquoi la peinture plutôt que la musique ? Car monsieur n’a jamais aimé le show-business et tout ce qui s’y rattache.
C’est à l’occasion d’un concours pour jeune talent que Miguel se fait remarquer par un certain Luciano Orsini. Riche mécène italien, ce cinquantenaire avait un succès tout relatif dans le monde de la peinture, et avait réussi à se faire un nom grâce à quelques toiles peintes dans sa jeunesse. Ayant rangé ses pinceaux, il prétendait préférer prendre de jeunes espoirs sous son aile et les aider à lancer leurs carrières. Il proposa un contrat à Miguel, lequel n’avait pas vraiment d’autre choix que celui d’accepter, lui qui voulait tant percer dans le milieu et obtenir la renommée. Surtout que ce genre de proposition faisait partie de celle que seul un crétin fini pouvait décliner. C’est donc à l’âge de 26 ans et toutes ses dents que le jeune homme fit ses bagages pour l’Italie. Aucun regret pour ce départ quelque peu précipité. Il avait toujours été assez indépendant de ses parents car débrouillard. ….Et sortant d’une déception amoureuse – Encore du très banal : La miss l’a simplement plaqué du jour au lendemain alors qu’il était persuadé qu’elle était la femme de sa vie, en gros imbécile heureux aveuglé par l’amour – le changement d’air ne pouvait que lui faire du bien. Les voyages aident à cicatriser mêmes les plus grosses blessures dit-on.
L’Italie, c’est le berceau de l’art. Le pays qui a vu naitre les plus grands artistes de l’histoire. Pour Miguel, c‘était un peu l’avant-garde du Paradis. Et le meilleur endroit pour exercer sa passion. Il se spécialise dans la scène de genre pour ses œuvres, et aime peindre à l’extérieur, en prenant comme modèle le monde tel qu’il est, Simple, souvent horrible, parfois doux et magnifique. A la demande de Luciano, Miguel se perfectionne pendant deux ans, sans jamais montrer ses toiles à quiconque. L’espagnol obéit religieusement à toutes les directives de son ainé, lui faisant une confiance absolue. Et c’est là la plus grande erreur de sa vie.
Vint le jour où son mentor lui annonça qu’il avait repris du service, motivé par la passion qui animait Miguel. Le grand Orsini revenant sur le devant de la scène artistique, les médias ne pouvaient pas laisser ça. Des conférences furent organisées, et surtout, une exposition regroupant les nouvelles œuvres, encore inconnues du grand public. Miguel attendait cette soirée avec presque autant d’impatience que son mécène, heureux pour lui. Sauf que le jour J, lorsque les tentures furent retirées des tableaux, c’était les travaux du plus jeune qui apparurent. Tous estampillés Orsini. Faire une scène ? Exploser de rage ? Serrer les poings et frapper le voleur ? C’est bien ce qu’il a fait. Ou plutôt ce qu’il a essayé de faire, car les gardes du corps ne lui en ont pas laissé le temps. Il avait hurlé au mensonge, ça ne changeait rien. Entre un type plein aux as, à la réputation censée être « respectable », et un jeunot inconnu de tous, qui croire ? Sa parole contre celle de l’imposteur. On le jeta dehors.
Voilà comment Miguel se retrouvait là, dehors, tentant en vain de se calmer. Voilà comment il en était arrivé à crier au vent ses insultes. Et voilà aussi comment il décida, de toutes ses forces, de se venger de cet homme. Au passage, voilà aussi comment la Luna Rossa décida de l’aider à exaucer son vœu. En lui envoyant un morceau d’étoile qui ferait de sa vie un enfer.
un mostro ?
RANG; B
POUVOIR; Lorsque Miguel -ou Raffaele- blesse une personne, quelle que soit la nature ou la taille de la plaie, celle-ci s’agrandira avec la distance jusqu’à devenir fatale. Le seul moyen de s’en sortir est de rester le plus proche possible du pactisant jusqu’à ce que la blessure guérisse totalement. En contrepartie, la force vitale de Miguel est pompée, de façon proportionnelle. Plus la distance est grande et plus il s’affaiblira à une vitesse affolante. Si jamais la personne victime de ce pouvoir meurt, l’hispanique sera tellement épuisé que plusieurs jours – voire plusieurs semaines – désagréables d’alitement lui seront incontournables. A noter aussi le fait que ce pouvoir est constamment actif, au grand dam de Miguel qui doit donc faire particulièrement attention dans sa vie de tous les jours pour ne blesser personne, ne serait-ce que d’une minuscule entaille. Un cauchemar pour quelqu’un d’aussi sociable et chaleureux que lui, et la raison principale de son aversion envers sa stella. Pour l'anecdote, notre homme étant un artiste, il a choisit de nommer son pouvoir. "Gli amanti", les amants, en référence au fait que le pactisant et le blessé ne peuvent se séparer s'ils veulent survivre. C'est fleur-bleu oui. Mais bon, c'est un romantique. Je vous avais pas dit qu'il loupe pas un seul épisode de "Lucie, l'Amour & Rock'n Roll" ?
CAMP; Neutre
la vostra stella !
TYPE; Humana NOM; Raffaele
RELATION; Honnêtement, y‘a plus de chances de trouver de l’estime entre un ricain et un soviétique que de l’amour entre Miguel et Raffaele.
Enfin, c’est quand même un chouïa plus recherché que ça en vrai. Mais c’est l’idée.
Il a une phrase qui résume parfaitement la relation de ces deux zouaves un peu paumés : « Ne jamais se fier aux apparences », aka le dicton qui t’annonce tout plein de suspense et qu’à coté, même le meilleur film de Twilight est aussi plat et sans intérêt que la poitrine de Raffa-…. Mais si, c’est trop bien Twilight, bande d’inculturisés de… [Bref].
Ou pas, on est d’accord. Tout ça pour dire que d’un point de vue extérieur, Miguel semble totalement soumit à Raffaele. Il fait tout ce qu’elle lui demande, lui sourit autant qu’aux autres, lui parle de sa voix agréable et pleine d’entrain, et surtout, reste d’un calme et d’un sang-froid olympien avec elle, ne répondant jamais à d’hypothétiques provocations ou insultes. Oui, pour certains, c’est ça, être soumit.
La vérité est tout autre, et elle est nettement moins drôle. Miguel déteste la stella. Ou plutôt, elle le révulse, à la manière d’un de ces insectes grouillants dont on fait à peine attention. Il la considère comme rien de moins qu’un parasite ayant élu domicile chez lui par la force des choses – et devenant ainsi une bouche en plus à nourrir, comme s’il avait de l’argent à perdre. Oh, par contre, il ne lui fait rien de spécial. Il ne la frappe pas, il ne l’insulte pas et ne lui crie jamais dessus. Il lui parle tout aussi normalement que lorsqu’ils ne sont pas seuls. En revanche, son aversion devient nettement plus palpable, et il l’ignore plus.
Il n’essaie pas de mieux la connaitre. En fait, son caractère de clébard sauvage ne lui en donne même pas l’envie. Et même s’il se doute qu’elle lui est dépendante, du fait de sa nature, il ne sait absolument pas ce qu’elle pense vraiment de lui. Ca ne l’intéresse pas de toute façon, et vu son immense gentillesse à son égard, ça ne lui en donne pas l’envie. Et le jour où Raffaele sera agréable avec lui… Non, Miguel n’arrive même pas à concevoir une telle situation.
ou alors quand il essai, ça donne ça:
EN FAIRE UN PRÉDÉFINI ? Non
voi
Prénom ou pseudo habituel; Pfff, trop. Kiku ou Autoroute en général. Iandouille ou Oyabun moins souvent. Avatar; Tout mec brun à la peau mate -typé hispanique quoi- convient. Pour l'instant, Espagne d'Hetalia, faute de mieux, mais c'est susceptible de changer. Avez-vous lu le règlement ?Vitodé par Vali. Comment avez-vous connu le forum ? Trop vieux. Via des partenaires surement, ou via July que je connais d’un autre forum. Et ça fait plus ou moins des mois qu’Angelo essait de me trainer ici. Un mot à dire ?
Dernière édition par Miguel Velasco [Raffaele] le Mar 26 Avr - 18:15, édité 32 fois
Vito Vargas
Membre- GDP
MESSAGES : 363
AGE : 33
LOCALISATION : Lyon.
HOBBIES : Me piquer à la nitro'.
Sujet: Re: Miguel Velasco Jeu 14 Avr - 8:40
OMGOMGOMGOMGOMGMIGUELOUI!
Je surkiffe la petite annotation sur l'avatar & la dédikass à Eldorado en fin de fiche. De même que les Skittles arc-en-ciel. Tout ça pour dire que t'es doublement, non, triplement, et même quadruplement bienvenue sur UA. Courage pour la suite de ta fiche, très bon début
Angelo Tornioli
Membre- GDP
MESSAGES : 518
AGE : 111
HUMEUR : grmmbl
Sujet: Re: Miguel Velasco Jeu 14 Avr - 9:53
Mes talents de persuasion sont infaillibles, quand bien même il me faut des mois, irk irk (crevure) Maintenant que t'es en vacances (crevure), plus d'excuse pour traînasser alors hophophop au boulot et finis-moi ça vite fait bien fait. crevure
Bienvenue sinon
Miguel Velasco [Raffaele]
Membre- pactisant
MESSAGES : 52
Sujet: Re: Miguel Velasco Jeu 14 Avr - 15:06
Vito > Owaiiii, Eldorado quoi. Puis les skittles, ça roxxe de la loutre en tube d'abord. Btw, je vais vite finir -je vais me faire fouetter par le truc qui me sert de stella si je traine trop-, genre, quadruplement merci. ♥
Machin > Non mais toi, chut d'abord. Certes j'ai TO-TA-LE-MENT finit les cours (8D), mais j'ai quand même mes partiels et le dessin de modèle vivant, oh. Alors trop que si, j'ai des excuses. Et prout. Et pis non, c'est pas vrai que je suis tellement motivé que j'écris le reste de la fiche pendant mes révisions. Tseuh.
Elissandre Hell
Membre- GDP
MESSAGES : 181
AGE : 34
LOCALISATION : Dans ma tête.
HOBBIES : Aucun. Pour quoi faire ?
Sujet: Re: Miguel Velasco Jeu 14 Avr - 15:14
Wai encore un gens cool **
ELdorado quoi, mais on va monter un club <3
Et de la loutre en tube ? Azy c'est ma nouvelle expression préférée.
Bienvenue *se lamente sur les fiches qu'elle a pas encore lues*
Miguel Velasco [Raffaele]
Membre- pactisant
MESSAGES : 52
Sujet: Re: Miguel Velasco Mar 26 Avr - 18:05
Citation :
WHY DO WE SPEND OUR NIGHTS ON INTERNET ?
( ) Because we have no social life.
( ) Because our friends don’t call us to get out.
(x) Because we are too sexy to the world outside, and mere mortals don’t deserve to breathe the same air as we do.
*AHEM*
Juste pour dire que malgré la présence de ces horribles mortels, je me dois de sortir dans leur monde exterieur pour participer à cet evenement incongru que la plébe appelle "Partiels". Donc, huh, je ne suis pas sure de pouvoir finir ma fiche dans les temps, scuzi. °° Mais promis, après, j'vous fini ça en moins de temps qu'il n'en faut pour aller faire soigner vos pokemon chez l’infirmière Joëlle.
Ellisandre > Vénère les loutres en tube. <3 Elles domineront l'univers. Un jour.
EDIT : Je vous l'avais bien dit. Encore plus rapide que la Team Rocket.
Dernière édition par Miguel Velasco [Raffaele] le Mar 26 Avr - 18:22, édité 1 fois
Raffaele [Miguel Velasco]
Membre- stella
MESSAGES : 174
Sujet: Re: Miguel Velasco Mar 26 Avr - 18:19
BATMAN.
A chaque fois que je vois ça dans une phrase, un texte, bref dans un truc avec des lettres qui forment des mots qui forment des phrases qui f--/TRAIN
Citation :
le monde tel qu’il est
.... Je pense furieusement à la Matrisque et à Lulu et euh.... ok j'ai des références absolument pourries (on a les références qu'on peut) mais j'ai juste rigolé très bêtement devant mon pc. (une fois de plus ou de moins, tu m'diras...)
Je t'aimeeeeeee Dépêche toi d'être validé sale hispanique, je te veux dans mon lit un rp furieusement épique. (histoire de prouver une fois de plus que fille ou pas fille, le seme ici c'est moi >D /jevaismecoucherpardonpardonpardon/)
Cassidi Natale [Othello]
Membre- pactisant
MESSAGES : 144
AGE : 33
Sujet: Re: Miguel Velasco Mer 27 Avr - 5:32
Quand je pense que hier dans ma fiche j'ai parlé de phobie de peigne à cheveux en déconnant. Ben en fait. Non. Miguel est concerné. Exemple vivant. MERCI. J'ai adoré ta fiche, sinon. Et ta façon d'écrire. Et ta façon de présenter Miguel. Le tout sans te prendre au sérieux à un seul instant. (Même si on sent que tu aimes vraiment Twilight, et ça mon amie, t'es tombée sur un forum où on te comprendra toutes )
Bref c'était super, j'ai hâte de lire vos rp's, à Raffaele et toi - que ce soit entre vous ou avec d'autres membres. Validation immédiate. Et un gros big up pour le .gif hortonesque. Ca fait office de pot-de-vin.
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Sujet: Re: Miguel Velasco
Miguel Velasco
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